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Le développement durable est le principal vecteur d’une paix durable, selon l’ONU

. . LIBERTÉ DE L’INFORMATION . .

Une article d Centre d’actualites de l’ONU

A l’occasion d’un évènement organisé au siège de l’ONU à New York sur le thème de la culture de la paix, des hauts responsables de l’Organisation ont appelé mercredi [9 septembre] la communauté internationale à s’impliquer dans la mise en œuvre du futur Programme de développement durable 2030 afin d’instaurer définitivement une culture de la paix à l’échelle mondiale.

unforum
Ambassador Einar Gunnarsson of Iceland. UN Photo/Mark Garten

« La réunion d’aujourd’hui a pour but de nous confronter à la dure réalité du monde actuel, où les gens souffrent et meurent de la violence et d’atrocités », a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, à l’ouverture d’un forum de haut niveau en faveur de l’établissement d’une culture de la paix qui avait lieu dans l’enceinte de l’Assemblée générale de l’ONU.

Citant en exemple le cas emblématique de la Syrie, qualifiée de pire crise humanitaire du moment, M. Ban a fermement condamné les violations des droits de l’homme et du droit international perpétrées dans le pays aussi bien par les autorités que par les groupes armés antigouvernementaux.

« Notre incapacité à mettre fin aux souffrances en Syrie est visible dans les camps et les maisons [d’accueil] en Jordanie, au Liban et en Turquie, mais aussi à travers la bouleversante crise des réfugiés en Europe », a déploré le Secrétaire général.

Sur ce dernier point, le chef de l’ONU a exhorté les dirigeants européens à mettre en œuvre une réponse commune et humaine face à l’afflux de réfugiés fuyant leurs pays en guerre pour atteindre l’Europe.

M. Ban a également appelé ces mêmes dirigeants à se prononcer très clairement contre la xénophobie et la discrimination à l’encontre des réfugiés et migrants.

« Nous ne pouvons pas construire une culture de la paix sans une campagne active de sensibilisation contre la division et l’injustice », a affirmé le Secrétaire général.

Outre la promotion de l’éducation, la défense des droits humains et le renforcement de la solidarité, M. Ban a appelé les Etats du monde entier à promouvoir davantage la jeunesse.

« Il est temps d’investir dans les jeunes en tant qu’artisans de la paix », a-t-il estimé.

A cette fin, M. Ban a mentionné l’espoir représenté par la future adoption du Programme de développement durable 2030 par les dirigeants mondiaux lors d’un sommet organisé au siège de l’ONU à New York fin septembre, en marge de la 70ème Assemblée générale de l’Organisation.

« Les objectifs de développement durable offrent une approche exhaustive de l’avancée économique, sociale et environnementale. Ceci est capital pour la prévention des conflits et la promotion d’une culture de la paix », a affirmé le Secrétaire général.

En conclusion de son discours, le chef de l’ONU a appelé la communauté internationale à faire sienne cet avertissement de Gandhi : « Il n’y aura pas de paix durable sur terre, à moins que nous n’apprenions non seulement à tolérer mais aussi à respecter les religions autres que la nôtre ».

De son côté, le Président de l’Assemblée générale, Sam Kutesa, a fait écho aux propos de M. Ban en déclarant que le nouveau Programme de développement et les 17 Objectifs de développement durable (ODD) qu’il comporte permettront d’instaurer une culture de la paix.

« L’Objectif numéro 16 des Objectifs de développement durable a trait à la promotion de sociétés pacifiques et inclusives pour le développement durable. A travers l’Objectif numéro 4, le Programme aspire également à favoriser les systèmes éducatifs capables de promouvoir durablement une culture de la paix et de la non-violence », a précisé M. Kutesa dans un discours lu par un Vice-président de l’Assemblée, Einar Gunnarsson.

Afin de veiller à la mise en œuvre du futur Programme et à l’instauration d’une culture de la paix, le Président de l’Assemblée générale a émis une série de recommandations, appelant la communauté internationale à : promouvoir le dialogue et la compréhension mutuelle, tout en renforçant le respect de la diversité religieuse et culturelle ; renforcer les principes de la liberté de pensée, de croyance et d’expression ; éliminer toutes les formes de discrimination et d’intolérance ; développer et étendre les politiques qui favorisent la justice, la sécurité et la primauté du droit ; encourager une plus grande participation des femmes dans la prévention des conflits et la consolidation de la paix ; et faire un usage efficace des médias pour la promotion d’informations concernant une culture de la paix.

(Cliquez ici pour une version anglaise.

Question related to this article:

Can the UN help move the world toward a culture of peace?

The following comes from the CPNN Coordinator’s blog of October 2012

The United Nations and the Culture of Peace

My ten years working in the United Nations system left me with a sweet and sour taste: the sweet side was the universality of the UN, both its staff and mandate, and its great significance for raising the consciousness of the peoples of the world; the sour side was the jealousy of the Member States who make sure that the UN does not encroach on their freedom to rule over their own citizens, as well as people in other countries that they may dominate through neo-colonial relations. This became crystal-clear to me when the United States delegate, during the informal meetings of the UN General Assembly in 1999, opposed the Declaration and Programme of Action on a Culture of Peace, saying that it would make it more difficult for them to start a war. In fact, throughout history, war (call it “defense” if you prefer) has always been the most fundamental “right” of the state

With this in mind, I have been pleasantly surprised by the extent to which the UN system has once again taken up the culture of peace as a priority, as shown in this month’s CPNN bulletin, just as it was a priority in the Year 2000 when I was the director of the UN International Year for the Culture of Peace

Of course, this does not happen by chance, and great credit belongs to two men who played key roles for the Year 2000, Federico Mayor Zaragoza, who made the culture of peace a priority of UNESCO, and Anwarul Chowdhury, who played the role of midwife at the UN General Assembly, guiding the culture of peace resolution through nine months of opposition by the powerful states. Once again, this last month, these two men motivated and spoke eloquently at the High Level Forum on a Culture of Peace at the UN

As always it was the countries of the South who supported the initiative (see the CPNN article of September 24 and its discussion), but at least this month it was not blocked by the powerful states

In fact, it is my impression that the powerful states pay less and less attention to the United Nations. When there was a financial crisis a few years ago, the powerful states did not turn to the UN agencies , the World Bank and the International Monetary Fund, but set up their own temporary system of finance ministers, and when it came time for the review of nuclear non-proliferation, President Obama held his own meeting with heads of state in Washington and ignored the UN conference where the only head of state to speak was that of Iran. And the US has pulled out of UNESCO entirely, forcing drastic cuts in its budget

In fact, the lack of attention by the powerful states may provide the UN system with an opportunity to push the agenda of the culture of peace without their opposition – let us hope that the UN can take advantage of this

Of course, in the long run, the UN, or any other institution, cannot mandate a culture of peace; instead, the culture of peace can only grow from the consciousness, both understanding and action, of the peoples of the world (see last month’s blog below). That’s why the role of the UN for consciousnes-raising is ultimately its greatest contribution!

Colombia: VII Congreso Nacional y II Internacional de REDUNIPAZ

. . DESARME Y SEGURIDAD . .

Un artículo de Uniminuto Tolima

La Corporación Universitaria Minuto de Dios, Centro Regional Ibagué junto a tres instituciones de educación superior del Tolima, serán el epicentro del VII Congreso Nacional y II Internacional de REDUNIPAZ.

redunipaz

Los encuentros académicos se llevarán a cabo los días 21, 22 y 23 de septiembre en la ciudad de Ibagué.

La Corporación Universitaria Minuto de Dios, la Universidad del Tolima, la Universidad de Ibagué y la Universidad Cooperativa, tendrán la responsabilidad de abordar la paz desde “El Rol de la Universidad en la Construcción de Paz con Justicia Social”.

El Centro Regional Ibagué, es el encargado de abordar el tema de Cultura (Pedagogía, Educación, Comunicación Arte y Paz). Se espera la presencia de 500 asistentes al evento académico.

El Congreso iniciará el 21 de septiembre con una Asamblea Nacional con delegados de todas las universidades participantes en el Auditorio los Ocobos de la Universidad del Tolima.

Posteriormente se realizará una rueda de prensa con medios locales y nacionales, con el fin de divulgar y hacer masivo el encuentro académico.

El mismo día en horas de la tarde se hará efectiva la instalación del Congreso en el Auditorio Alfonso López Pumarejo de la Gobernación del Tolima. Las puertas estarán abiertas a todo el público de la capital tolimese.

Ya en la noche se cerrará el día de apertura del VII Congreso Nacional y II Internacional de REDUNIPAZ, con un concierto de música colombiana en la Sala Alberto Castilla del Conservatorio del Tolima.

El segundo día la actividad del Encuentro se trasladará a cada una de las Universidades organizadoras.

Por parte del Centro Regional Ibagué el punto de encuentro será la Sede Chicalá. Allí, de 8:00 am a 6:00 pm, se abordará el eje temático: Cultura.

Educación, Arte y Paz, Pedagogía y Comunicación, serán las mesas de trabajo, donde se expondrán 13 ponencias que abordan el tema de paz desde el eje temático.

El 23 de septiembre expertos en el tema de paz, realizarán conferencias abiertas a toda la comunidad ibaguereña. Ya en horas de la noche se cerrará el evento académico con las conclusiones generales de este.

Dele clic aquí y sea un agente activo en el del VII Congreso Nacional y II Internacional de REDUNIPAZ.

( Clickear aquí para la version inglês. )

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Argentina: Ciclos de Cultura de Paz

. . DESARME Y SEGURIDAD . .

Una comunicación del Facultad de Ciencias Jurídicas y Sociales, Universidad Nacional de La Plata

En conmemoración del Día Internacional de la Paz y de la No Violencia, que se celebra el 21 de septiembre, del 22 de septiembre al 1 de octubre, de 18 a 20 hs. se llevará a cabo este Ciclo, que contará con diversas disertaciones y muestras fotográficas/ paneles durante toda la semana.

ciclos

JORNADAS por una CULTURA de PAZ y NO VIOLENCIA

El Día Internacional de la Paz y la No Violencia, refleja la aspiración profunda de todos los pueblos a vivir juntos, libres y en igualdad de derechos y dignidad,

22 de septiembre

PRESENTACIÓN: EL FOMENTO DE UNA CULTURA DE PAZ. FILOSOFÍA PARA HACER LAS PACES, EL DERECHO A LA PAZ Y LA ELIMINACIÓN DE VIOLENCIAS

Coordinadora Rocío Pilar Gomez -Abogada (UNLP) Especialista en Derecho Penal (UBA), Diplomada en Cultura de Paz (Universidad de Barcelona) – Fiscalía de Delitos Conexos a la Trata de Personas nº 4 de La Plata – Auxiliar Docente Facultad de Ciencias Jurídicas y Sociales UNLP.-

23 de septiembre

LOS PROCESOS DE INTEGRACIÓN Y SU CONTRIBUCIÓN A LA PAZ REGIONAL Y LA DEMOCRACIA

Mag. Laura Maira Bono, Abogada (UNLP), Coordinadora del Departamento de América Latina y El Caribe y CENSUD – IRI, Magister en Relaciones Internacionales, Profesora de derecho Internacional Público de la FCJyS –UNLP. Investigadora IRI.

Mag. Laura Lucía Bogado Bordazar, Doctora en Derecho y Ciencias Sociales (Abogada) y Magister en Relaciones Internacionales Universidad de la República Oriental del Uruguay, Docente e investigadora de Derecho Internacional Público de la FCJyS – UNLP. Coordinadora del Departamento de América Latina y el Caribe, del Centro de Estudios Sudamericanos y de la Cátedra Brasil del IRI de la UNLP.

24 de septiembre

DESARROLLO SOSTENIBLE, SOBERANÍA ALIMENTARIA Y DERECHOS HUMANOS: El Derecho Humano la Alimentación Adecuada

Dr. Marcos Ezequiel Filardi, abogado especializado en Derechos Humanos (UBA y Columbia). Visitó más de 200 proyectos de Derechos Humanos y Desarrollo en países de África, Asia y América Latina. Docente de Derechos Humanos de la Facultad de Derecho (UBA), a cargo del Seminario Interdisciplinario sobre el Hambre y el Derecho Humano a la Alimentación Adecuada. Docente de las Cátedras Libres de Soberanía Alimentaria de la Escuela de Nutrición y de la Facultad de Agronomía de la Universidad de Buenos Aires, y de la Cátedra Libre de Soberanía Alimentaria de la Universidad Nacional de Lomas de Zamora.

Carolina María Gómez Fonseca, Socióloga, Doctoranda en DD.HH, Universidad de Lanús, Magister en Estudios Sociales Agrarios, de la FLACSO. Línea de profundización en estudios sobre género y organización campesina. Amplia experiencia en trabajo con comunidades rurales, población migrante y en situación de desplazamiento forzado.

25 de septiembre

VIOLENCIA INSTITUCIONAL: CONSTRUYENDO ESPACIOS PARA NUEVAS PRÁCTICAS

Dr. Esteban Rodriguez Alzueta, Abogado, ensayista y Magister en Ciencias Sociales (UNLP), Docente, Investigador y Extensionista en la UNQ y UNLP, Autor del libro “Temor y Control. La gestión de la inseguridad como forma de gobierno” Autor de Justicia mediática (2000), Contra la prensa (2001) y Estética Cruda (2003); coautor de La radicalidad de las formas jurídicas (2002); La criminalización de la protesta social (2003) y Políticas de terror (2007). Miembro del Colectivo de Investigación y Acción jurídica (CIAJ), organismo de derechos humanos de la ciudad de La Plata; integrante del grupo cultural La Grieta de la ciudad de La Plata

(El artículo continúa en el lado derecho de la página)

( Clickear aquí para la version inglês. )

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How are you celebrating peace day

(Artículo continúa desde la parte izquierda de la página)

28 de septiembre

NIÑEZ, DERECHOS HUMANOS Y POLÍTICAS PÚBLICAS: EL DESAFÍO DE TRANSFORMAR LAS DIVERSAS VIOLENCIAS COTIDIANAS QUE PADECEN NIÑXS Y JÓVENES EN OPCIONES DE VIDA DIGNA, JUNTO A ELLXS

Dra. Carola Bianco, abogada, especialista en Derecho Procesal Profundizado, adjunta de la cátedra I de Sociología Jurídica de la Facultad de Ciencias Jurídicas de la Universidad Nacional de La Plata, Investigadora III UNLP, directora del Programa de Niñez, Derechos Humanos y Políticas Públicas de la Secretaría de Extensión de la FCJyS UNLP-.

29 de septiembre

MUJERES Y CULTURA DE PAZ: Resolución 1325 del Consejo de Seguridad de la ONU. “Mujeres, Paz y Seguridad”: hito innovador en la agenda de paz y género

Dra. María Julia Moreyra, “Mujeres de Paz en el Mundo” (“Peace Woman Across the Globe”- PWAG), Coordinadora Regional para América Latina y el Caribe de Mujeres de Paz en el Mundo. Abogada, Magister en Relaciones Internacionales (FLACSO – Argentina), Autora del libro “Conflictos Armados y Violencia Sexual contra las Mujeres” (Editores del Puerto- 2007), Conferencista en universidades públicas y privadas de la República Argentina y en Foros Internacionales sobre la Resolución 1325 del Consejo de Seguridad de Naciones Unidas y sobre Corte Penal Internacional.

Sr. Alejandro Álvarez. Colaborador de la Oficina Regional de Mujeres de Paz en el Mundo. Ex miembro de las Operaciones de Paz de las Naciones Unidas.

30 de septiembre

VERDAD, JUSTICIA Y REPARACIÓN: PROCESOS DE TRANSICIÓN POR LA PAZ EN AMÉRICA LATINA

Dra. Natalia Barbero, Doctora en Derecho Penal (UNED, España). Master en Derecho Comparado (USD, Estados Unidos). Asesora jurídica. Especialista en consultorías temáticas en Derechos Humanos y Derecho Penal Internacional. Profesora de Derechos Humanos, Derecho Penal, Derecho Penal Internacional, y Justicia de Transición, en la Universidad de Buenos Aires, Universidad de Belgrano, y Universidad Santo Tomás (Colombia). INTERVENTORA EN LOS PROCESOS DE PAZ EN COLOMBIA

1 de octubre

Cierre: Dr. Fabián Salvioli Presidente del Comité de Derechos Humanos (ONU)

LUGAR: Salón de los Espejos (Edificio de la Reforma – calle 48 entre 6 y 7 Nº 582)

ENTRADA LIBRE Y GRATUITA

DERECHO A CERTIFICADO: con el 80%de asistencia a las Jornadas

INSCRIPCIÓN: personalmente en la Secretaría de Extensión Universitaria (1º Piso del Edificio de la Reforma), de lunes a viernes de 8 a 20 hs.

Breve reseña histórica

El Día Internacional de la Paz fue establecido en 1981 por la resolución 36/67 Documento PDF de la Asamblea General ONU. El Día de la Paz se conmemoró por primera vez en septiembre de 1982.

Cada 21 de septiembre se celebra el Día Internacional de la Paz. Este día se dedica a reforzar los ideales de la paz en todas las naciones y pueblos del mundo.

El lema de la celebración de este año es «Alianzas para la paz, dignidad para todos», con el fin resaltar la importancia de que todos los grupos sociales trabajen juntos para lograr la paz.

Junto a ello, el día Internacional de la no violencia es observado el 2 de octubre, el aniversario del nacimiento de Mahatma Gandhi, líder del movimiento de la Independencia de la India y pionero de la filosofía y la estrategia de la no violencia.

De acuerdo con la resolución A/RES/61/271 de la Asamblea General del 15 de junio del 2007 Documento PDF, la cual establece que la conmemoración, el Día Internacional es una ocasión para «diseminar el mensaje de la no violencia, incluso a través de la educación y la conciencia pública». La resolución reafirma «la relevancia universal del principio de la no violencia» y el deseo de «conseguir una cultura de paz, tolerancia, comprensión y no violencia».

A raíz de ello, en Argentina Promulgan la ley que declara el 2 de octubre como Día de la No Violencia

Se trata de la norma 27.092, que fue sancionada en diciembre pasado en el Congreso. La fecha elegida coincide con el Día Internacional de la No Violencia establecido por la ONU para recordar el aniversario del nacimiento de Mahatma Gandhi.

(Gracias a Rocío Pilar, el reportero de CPNN para este artículo.)

Curitiba, Brasil: Policiais militares discutem cultura de paz

. . . DESARME Y SEGURIDAD . . .

Un artigo do Instituto Mundo Melhor

No dia 25 de agosto, o Instituto Mundo Melhor (IMM) reuniu policiais militares de Curitiba para discutir a cultura de paz. As atividades têm ênfase na educação em valores e pedagogia da convivência. Participam do projeto cerca de 30 profissionais do 12º e 13º Batalhão de Polícia Militar do Paraná (PMPR). O projeto capacita policiais militares que atuam nas Unidades Paraná Seguro (UPS).

curitiba

O presidente do IMM, Jeroslau Pauliki, comenta sobre a experiência piloto de trabalhar com público fora das áreas de educação, assistência social e saúde em que o projeto já tem a expertise. “Essa iniciativa pioneira nos traz para uma reflexão importante. Mesmo as profissões sendo totalmente opostas, o ambiente de trabalho, seus conflitos e desafios aproximam-se em vários aspectos e isso contribui para uma discussão aberta e de desenvolvimento para todos”, ressalta.

A iniciativa é avaliada com bons olhos pelo comandante do 12° Batalhão, coronel Antônio Zanatta Neto. “É uma excelente oportunidade de integrar a Polícia Militar na sociedade e buscar novos conhecimentos. As expectativas são as melhores possíveis, pois já conhecíamos a plataforma trabalhada pelo IMM. Os conteúdos foram adaptados para a Polícia Militar e nós somos os pioneiros. Queremos quebrar paradigmas e avançar ainda mais nos serviços de polícia comunitária e cidadã”, ressalta.

O próximo encontro do Polo de Educação para a Paz instalado pelo IMM no 12º Batalhão de Polícia Militar será no dia 16 de setembro. Ao todo, serão quatro reuniões. Os conteúdos serão ministrados pelo Núcleo de Estudos e Formação de Professores em Educação para a Paz e Convivências da Universidade Estadual de Ponta Grossa (NEP/UEPG).

(Clique aqui para o versão deste artigo em Inglês)

Pregunta para este artículo:

No Rio, Cardeal Turkson afirma que paz exige conversão

. TOLERÂNCIA E SOLIDARIEDADE .

Um artigo de Radio Vaticana

O Cardeal Presidente do Pontifício Conselho Justiça e Paz, Peter Turkson, defendeu na manhã desta terça-feira (1º/9), durante o Simpósio Internacional “Promoção da cultura da paz num mundo em conflito”, em andamento no Rio de Janeiro, cinco elementos essenciais para se construir uma sociedade mais justa e pacífica: discernimento e realidade; visão do todo; confiança e paciência; a cultura da paz e o compromisso com o diálogo.

turkson

Ao afirmar que a “paz tem uma irmã e ela se chama justiça”, o Cardeal Turkson destacou que “os promotores da paz tendem a emergir de situações de sofrimento, não dos ambientes acadêmicos”.

Sinais dos tempos

Contudo, neste contexto, destacou que, para que os oprimidos não se tornem opressores, é preciso recordar que o “compromisso com a justiça e a não-violência está intrinsicamente conectado à conversão”.

Sobre o discernimento para promover as mudanças necessárias para o futuro, o Cardeal afirmou que ler os sinais dos tempos não é algo que acontece automaticamente, é preciso aprender e praticar.

“Sinais genuínos são resultado do passado com todos seus erros e esforços e provêm a base e os desafios para aquilo que devemos fazer para construir o hoje de acordo com uma visão de futuro”, afirmou.

Cultura da Paz

Ao abordar o tema da visão do todo, o cardeal ganês refletiu sobre o egoísmo que impede reconhecer no outro um semelhante. “Indivíduos que se refutam a mudar contribuem para sociedades injustas e conflituosas”, disse, e acrescentou: “Uma cultura da paz é desenvolvida por aqueles que praticam a paz em sua vida diária. Não pode existir justiça entre os homens se não há justiça para com Deus”.

O Cardeal afirmou ainda que é preciso confiança e paciência para construir a cultura da paz uma vez que esta somente acontece quando todos trabalham unidos. “Por isso, a unidade – uma diversificada e altruísta unidade – pacientemente prevalece sobre o conflito”. A chave para unir na diversidade, concluiu o Cardeal Turkson, é um forte compromisso com o diálogo.

(Clique aqui para o versão deste artigo em Inglês)

Question for article

Bulletin français 1 septembre 2015

COLOMBIE SE PRÉPARE A LA PAIX

Le gouvernement de Colombie et les FARC entrent dans leur 40e cycle de pourparlers de la paix. Après un demi-siècle de guerre civile qui a déchiré son pays, le peuple de Colombie est optimiste quant à la fin de la guerre et se prépare pour la paix.

Les pourparlers ont repris le 20 août à Cuba avec “un renouveau de confiance dans le processus de paix crée par la volonté des deux parties prenants d’accélérer le rythme de leurs négociations à La Havane et la désescalade de la violence en Colombie”. L’une des décisions prises lors des conversations récentes était la promesse de créer une commission de vérité. Une étude récente réalisée par les Nations Unies montre que, tandis que les pourparlers de paix progressaient, le niveau de la violence diminuait.

Selon les explications de Amada Benavides dans sa lettre de Colombie à CPNN: «Le processus de négociation vers un accord de paix avec les FARC a provoqué des avancées dans de nombreux domaines, y compris l’éducation pour la paix. Pour la première fois en Colombie, celle-ci est explicitement mentionnée, et dans ce sens nous avons plusieurs nouvelles initiatives … dont la Réunion nationale sur éducation pour la paix, qui se tiendra les 1er et 2 Octobre.” Amada Benavides ajoute: «Étant donné que nous avons travaillé plus de 15 ans pour souligner la nécessité de l’éducation pour la paix en Colombie, nous vivons vraiment un moment excitant.”

L’éducation pour la paix est en train de devenir une matière obligatoire dans les écoles en Colombie. Selon la loi 1732, adoptée en 2014, le gouvernement national a décrété que “l’éducation pour la paix doit être presente dans tous les établissements d’enseignement dans le pays”. La culture de la paix et le développement durable doivent être appliqués dans le programme scolaire avant le 31 Décembre 2015. Ils doivent apparaitre dans les domaines suivants: les sciences sociales, l’histoire, la géographie, la politique et la constitution de la démocratie, les sciences de la vie, l’éducation à l’environnement, l’éthique, les valeurs et les principes humains.

Il y a également des nombreuses initiatives locales et régionales dans le cadre des négociations de paix entre le gouvernement et les FARC:

Les actions de la Communauté de paix de San José de Apartadó dans les dernières années ont crée un précédent important. Existant officiellement depuis 1996, elle a su résister à la guerre civile grâce à un large éventail de tactiques non-violentes: déclarations publiques, création d’institutions éducatives et de marchés alternatifs. Cette diversité tactique impressionnante a gagné un considérable soutien international et, à ce jour, contribue à maintenir la liberté de la Communauté.

En Cundinamarca, une réunion régionale a été consacrée au renforcement de la politique nationale de la coexistence, de la sécurité et de la réconciliation. Jérôme Gordillo, secrétaire du gouvernement de Cundinamarca, a déclaré qu’il est de la responsabilité des maires et des médiateurs de gérer efficacement le processus de paix.

Dans la ville de San Agustin, la Faculté de l’éducation de l’Université Surcolombiana a célébré la première Biennale internationale de l’éducation et de la culture de la paix du 13 au 15 Août.

Dans la ville de San Agustin, la Faculté de l’éducation de l’Université Surcolombiana a célébré la première Biennale internationale de l’éducation et de la culture de la paix du 13 au 15 Août.

A Carthagèna, a été convoqué la première réunion pour construire une Assemblée régionale des Caraïbes pour la paix . Cette réunion a été soutenue par le syndicat des travailleurs USO et par la société Ecopetrol. Des délégués de Atlantico, Bolivar, Sucre, Córdoba, Cesar et Guajira y ont assistés.

A Bogotá, plus de 350.000 personnes ont participés au Festival “Rock dans le Parc” qui a été consacrée cette année à la culture de la paix.

À l’échelle nationale, la Deuxième Assemblée nationale pour la paix se tiendra en Novembre prochain. Quatre groupes de discussion et 10 assemblées régionales vont avoir lieu dans Antioquia, Barrancabermeja, Cartagena, Choco, Villavicencio, Neiva, Puerto Asis, Tibu, Arauca et Popayan. Ils porteront sur trois thèmes: 1) la politique de l’exploitation minière et de l’énergie; 2) le développement et la paix régionale et 3), la culture de la paix et le suivi des accords de paix.

Dans de nombreuses régions éloignées en Colombie, la radio est le seul media auquel les gens ont accès. Pour cette raison, le Bureau du Haut Commissaire pour la Paix cette année a commencé à former les journalistes et les animateurs travaillant dans des centaines de petites stations radio à travers le pays. Il s’agit de radio communautaire dont le but est d’animer les programmes qui mettront les citoyens et les citoyennes en contact avec le processus de paix.

En bref, le peuple de Colombie se prépare pour la paix à tous les niveaux. Il nous donne ainsi des leçons pour l’éventuelle transition de la culture de guerre mondiale à une culture de la paix.

      
LIBERTÉ DE L’INFORMATION

benavides

Letter from Colombia

ÉQUALITÉ HOMMES/FEMMES



To Hell and Back: How Rwanda’s Women Helped It Become a World Leader

DISARMAMENT ET SECURITÉ




CICR: Nous devons stopper le commerce et les transferts irresponsables d’armes

DROITS DE L’HOMME


L’ONU: Des déplacements de populations plus importants que jamais

DÉVELOPPEMENT DURABLE


Les Etats membres de l’ONU s’accordent sur le nouveau programme de développement

PARTICIPATION DÉMOCRATIQUE



Côte d’Ivoire: Le REPSFECO-CI invite les acteurs à un processus électoral apaisé

TOLERANCE ET SOLIDARITÉ


Bulgarie: Soins pour les victimes de violence et soutien psychologique pour les enfants et les adolescents en difficulté

ÉDUCATION POUR LA PAIX



Colombia: Rock in the Park 2015 – Music for the 21st Century

Boletín español el 1 de setiembre 2015

COLOMBIA SE PREPARA PARA PAZ

A medida que el gobierno de Colombia y las FARC entran el ciclo 40 de las conversaciones por la paz para, el pueblo de Colombia están optimistas de que está llegando en fin del conflicto armado de más de medio siglo .que ha desgarrado su país, y se están preparando para la paz.

Las conversaciones de paz  comenzaron de nuevo en el 20 de agosto en La Habana con “una renovación de la confianza en el proceso de paz, generada por la voluntad de las partes para acelerar el ritmo en La Habana y de de-escalada de la violencia en Colombia”. Entre sus decisiones en las conversaciones recientes está la promesa de crear una comisión de la verdad. Según un reciente estudio realizado por la Naciones Unidas, a medida que las conversaciones de paz han avanzado, el nivel de violencia ha disminuido.

Como Amada Benavides explica en su carta a CPNN de Colombia, “El proceso de negociación de un acuerdo de paz con las FARC ha avanzado muchos temas, entre ellos la educación para la paz. Por primera vez en Colombia se está explícitamente mencionado, y no por otros nombres, y en este sentido tenemos varias iniciativas nuevas… [incluyendo el] Reunión Nacional sobre la Educación para la Paz , que se celebrará el 1 y 2 de octubre “. Y añade: “Dado que hemos estado trabajando más de 15 años para presentar la necesidad de la educación para la paz en Colombia, esto es realmente un momento muy emocionante.”

Educación para la paz está convirtiendo en una asignatura obligatoria en las escuelas de Colombia. Según la ley 1732, adoptada en 2014, el gobierno nacional ha decretado que “la enseñanza de la Paz está regulada en todas las instituciones educativas del país”. Cultura de paz y el desarrollo sostenible se llevarán a cabo en el programa académico antes de diciembre 31 de 2015, en las áreas de ciencias sociales, la historia, la geografía, la política y la constitución de la democracia, ciencias de la vida, la educación ambiental, la ética, los valores y principios humanos.

Hay muchas iniciativas de paz locales y regionales en el contexto de las negociaciones entre el gobierno y las FARC:

Un precedente importante en los últimos años se ha establecido por la Comunidad de Paz de San José de Apartadó, establecido formalmente en 1996, que ha resistido a la participación en la guerra civil a través de una amplia gama de tácticas no violentas comprendida entre declaraciones públicas y la creación de instituciones y mercados educativos alternativos. Esta impresionante diversidad táctica ha ganado considerable apoyo internacional y, a este día, ayuda a mantener la libertad de la Comunidad.

En Cundinamarca una reunión regional se dedicó a fortalecer la política nacional de la convivencia y la seguridad en el tema de la reconciliación.  Jerónimo Gordillo, secretario de Gobierno de Cundinamarca, dijo que es responsabilidad de los alcaldes y defensores del pueblo manejar de manera eficiente el proceso de paz.

En la ciudad de San Agustín, la Facultad de Educación de la Universidad Surcolombiana celebró la  primera Bienal Internacional de la educación y cultura de la paz del 13 al 15 agosto.

En Cartagena, fue convocada la primera reunión regional para construir un Asamblea Regional para Paz del Caribe. La reunión fue apoyada por el sindicato laboral de los trabajadores -USO- y la empresa Ecopetrol.  Asistieron delegados de Atlántico, Bolívar, Sucre, Córdoba, Cesar y Guajira.

En Bogotá, más de 350.000 personas asistieron al Festival Rock al Parque que fue dedicado este año a la cultura de la paz.

A nivel nacional, la Segunda Asamblea Nacional por la Paz se llevará a cabo en noviembre. Se incluirá cuatro conversaciones y 10 asambleas regionales que tendrán lugar en Antioquia, Barrancabermeja, Cartagena, Choco, Villavicencio, Neiva, Puerto Asís, Tibú, Arauca y Popayán. Se centrarán en tres temas: 1) la política de la minería y la energía; 2) el desarrollo regional y la consolidación de la paz; y 3) la cultura de la paz y el seguimiento de los acuerdos de paz.

En muchas regiones remotas de Colombia, la radio es el único medio de comunicación al que las personas tienen  acceso. Por esta razón, la Oficina del Alto Comisionado para la Paz de este año comenzó a capacitar a periodistas y locutores que trabajan en cientos de pequeñas estaciones de radio comunitarias en todo el país para administrar los programas que traen los ciudadanos en contacto con el proceso de paz.

En suma, el pueblo de Colombia se está preparando para la paz en todos los niveles, que nos proporciona lecciones para la eventual transición de la cultura de guerra mundial a una cultura de paz.

      

LIBERTAD DE INFORMACIÓN

benavides

Carta de Colombia

IGUALDAD HOMBRES/MUJERES



To Hell and Back: How Rwanda’s Women Helped It Become a World Leader

DESARME Y SEGURIDAD




CICR: Comercio de Armas: debemos poner fin a la transferencia ilegal de armas

DERECHOS HUMANOS



UN: Worldwide displacement hits all-time high as war and persecution increase

DESAROLLO SUSTENTABLE



ONU: Líderes mundiales logran consenso sobre la nueva Agenda para el Desarrollo Sostenible

PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA



Côte d’Ivoire: REPSFECO-CI promotes a peaceful electoral process

TOLERANCIA Y SOLIDARIDAD



A gathering of young peace-builders towards a strengthened policy framework on Youth, Peace and Security

EDUCACIÓN PARA PAZ



Colombie: Rock al Parque 2015 – Una Tendencia del Siglo XXI

La radio, instrumento para explicar la paz en zonas remotas de Colombia

. LIBERTAD DE INFORMACIÓN .

Reproducido con permiso de ©ELIZABETH REYES L./EDICIONES EL PAÍS, SL 2015

“Yo nombro a mi esposo Luis Javier Laverde Salazar, porque nombrarlo es tener memoria y tener memoria es no llegar al olvido”.
La que habla es Luz Helena Galeano. Está en la radio y durante cinco minutos repetirá dos veces más la misma frase. Al fondo se escucha una estrofa de Mujer Divina, esa salsa pegajosa de Joe Cuba…
“Mulata, mi prieta, mi cielo, te quiero, te adoro, divina mujer”… Luz Helena tararea lo que le cantaba su esposo y cuenta sin afanes que desapareció el 9 de diciembre de 2008 en la comuna 13 de Medellín.
Un grupo de paramilitares lo bajó de un bus y, desde entonces, desconoce su paradero.

radio
Periodistas en uno de los talleres sobre narrativas radiales de paz. / KEWIN SANTOS

El programa radial se llama Memorias en voz alta del productor Juan Gabriel Vanegas y fue transmitido en Esquina Radio, una emisora comunitaria de Medellín que se escucha en el centro y las comunas del oriente de la ciudad. Es corto, pero contundente. Cinco minutos para reivindicar a una víctima del conflicto armado que tenía nombre, una esposa y dos hijas.

El trabajo de Vanegas participó, con otros 51, en un concurso nacional de radio, cuyo propósito era contar historias que hablaran de verdad, de memoria, de reconciliación y de construcción de la paz. Un tema que, aunque está en el centro de la agenda del Gobierno por cuenta de las negociaciones de paz con las FARC, muchos lo sienten lejano y ajeno.

El presidente Santos y sus negociadores lo saben. Incluso reconocen que no han sabido comunicar de la mejor manera lo que ocurre en La Habana con las negociaciones de paz. ¿Qué se negocia? ¿En qué beneficia a las comunidades que viven, por ejemplo, en las regiones donde la guerra se ha ensañado? Las preguntas abundan y también los falsos mitos. Por eso, desde hace un año la Oficina del Alto Comisionado de Paz empezó a preparar a informadores que trabajan en emisoras comunitarias, las cuales, en muchas ocasiones son el único medio que existe en cientos de poblados alejados de las grandes ciudades.

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Question related to this article:

What is happening in Colombia, Is peace possible?

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Había que romper el hielo, dicen los formadores. “La paz (de La Habana) era un tema que pasaba a miles de kilómetros de los territorios”, cuenta Ivonne Pico, integrante de Resander, la red cooperativa de medios comunitarios de Santander, socio estratégico en la formación. Esta red notó que el espacio que tenían estas emisoras para hablar de las negociaciones o de la paz en general, era muy pequeño y que el escepticismo abunda. Hay otros casos, en que hablar de la paz es definitivamente un tema vetado, por lo complejo de la guerra. “Nos tocó empezar por explicar lo que sí se discute y lo que no entra en las negociaciones. También se dieron pistas sobre cómo informar”, cuenta Pico y aclara que no se trata de que los informadores sean “animadores del proceso”, pero sí de que lo entiendan.

Luego vinieron las historias. No del proceso de paz, sino de cómo, desde esos territorios alejados de los reflectores se puede construir paz o se ha venido construyendo. De nuevo, en talleres, pero esta vez de producción en caliente, cientos de informadores trabajaron para hacer 21 radio-revistas que, desde una narrativa muy particular, agrupan 178 experiencias de paz. “Una paz que no comienza ni termina en La Habana”, dice José Luis Muñoz, otro de los formadores. De todos los rincones del país surgen los relatos de la convivencia.

En las piezas de radio sobresalen lecciones de resistencia y esperanza. Hay historias de mujeres valientes, de cantantes de hip hop, de jóvenes futbolistas, de profesores que salvan a sus estudiantes del reclutamiento, de comunidades que retornaron a sus pueblos arrasados por la guerra. También, de pueblos indignados por el secuestro y de otros que apostaron a sustituir los cultivos de coca.
Muchos de los protagonistas coinciden en que la paz puede construirse desde la cotidianidad. “Contar historias es poderoso, muestra caminos, revela personajes, dibuja territorios”, dice Muñoz. “Es en esos territorios, donde ha corrido sangre, donde también tenemos la posibilidad de empezar a reescribir la historia”, agrega Pico.

Los programas están alojados en la página Contamos para la paz y pueden reproducirse libremente en las emisoras comunitarias del país.
También están varias de las historias que ganaron el concurso de radio. El primer lugar se lo llevó Jorge Arias, un informador del sur de país que en nueve minutos cuenta la insólita historia de cómo en un pequeña pedanía asediada por la violencia, se idearon códigos secretos para poder comunicarse a través de altavoces, sin arriesgar la vida.

“Queríamos que la gente no se sintiera sola”, dice uno de esos informadores de la Colombia profunda.

CICR: Nous devons stopper le commerce et les transferts irresponsables d’armes

.DESARMAMENT & SECURITE.

Une déclaration par la Comité International ce la Croix-Rouge

Première Conférence des États parties au Traité sur le commerce des armes, Cancun, Mexique, 24-27 août 2015. Allocution vidéo prononcée par Peter Maurer, président du CICR, lors de la Conférence:

icrc-english-french
ICRC Video

Je suis honoré de prendre aujourd’hui la parole devant vous en ce moment historique, à l’occasion de la première Conférence des États parties au Traité sur le commerce des armes, un traité dont il y a tout lieu d’espérer qu’il réduira les terribles souffrances humaines causées par la disponibilité généralisée et insuffisamment réglementée des armes classiques.

Le Traité sur le commerce des armes établit une norme mondiale pour des transferts d’armes responsables. En obligeant les États parties à prendre en compte le respect du droit international humanitaire et du droit des droits de l’homme dans leurs décisions sur les transferts d’armes et à adopter des mesures visant à empêcher le détournement de ces armes, le Traité contribuera à ce que les armes ne se retrouvent pas dans les mains de ceux dont on peut attendre qu’ils les utilisent pour commettre des crimes de guerre, des violations graves des droits de l’homme et d’autres crimes graves.

En adoptant le Traité sur le commerce des armes, les États ont reconnu qu’il n’est plus guère possible de considérer les armes et les munitions comme une catégorie de marchandises comme les autres. Ils ont reconnu que les transferts d’armes exigent une prudence toute particulière en raison des dommages dévastateurs et irréparables que les armes provoquent lorsqu’elles tombent entre de mauvaises mains. Et ils ont explicitement reconnu que la coopération, la transparence et l’échange d’informations sous-tendent un commerce responsable des armes, et sont essentiels à l’instauration de la confiance entre les États et donc à l’efficacité du Traité.

La réalisation du Traité, dont le but est d’accroître la responsabilité et la transparence dans le commerce international des armes classiques, dépendra non seulement de la mise en œuvre des exigences du Traité par les États parties, mais aussi de l’ouverture et de la transparence des forums mis en place pour l’examen de sa mise en œuvre et de son fonctionnement, en particulier de la Conférence des États parties.

(Voir suite sur colonne de droite. . . )

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Question for this article:

Do you think handguns should be banned?, Why or why not?

(. . . suite)

Un niveau élevé de transparence, notamment dans les rapports initiaux et annuels requis au titre du Traité, et dans l’examen du fonctionnement du Traité par la Conférence des États parties, facilitera la coopération et instaurera la confiance nécessaire au succès du traité. Le CICR demande instamment aux États parties de garder cette idée à l’esprit lorsqu’ils prendront des décisions cette semaine, notamment concernant le règlement intérieur et le mécanisme d’établissement des rapports.

L’importance du Traité, et l’étape décisive que constitue cette première Conférence des États parties, ne sauraient être surestimées. Si nous sommes parvenus aujourd’hui à ce stade, c’est grâce à tous ceux qui ont œuvré sans relâche durant ces quinze dernières années pour que le Traité devienne réalité. Parmi eux, les États qui ont fait avancer le processus jusqu’au stade de l’adoption du Traité, l’Organisation des Nations Unies et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, qui tous ont attiré l’attention sur le coût humain élevé des transferts d’armes insuffisamment contrôlés ; et, bien sûr, les organisations non gouvernementales qui furent les premières à réclamer un traité sur le commerce des armes il y a une quinzaine d’années. À cet égard, il faut reconnaître le rôle capital joué par la coalition des ONG « Control Arms » dans la réalisation du Traité, ainsi que l’expertise et l’assistance inestimables qu’elle apporte aujourd’hui aux efforts d’universalisation et de mise en œuvre.

Il convient de soutenir les efforts concertés accomplis par les États, les organisations internationales, les ONG et le CICR, qui, nous l’espérons, seront renforcés durant la phase de mise en œuvre du Traité, dont cette première Conférence des États parties est le point de départ. Notre travail ne fait que commencer. Nous devons à la fois nous efforcer de parvenir à l’adhésion la plus large possible du Traité, notamment par les États impliqués dans le commerce des armes, mais nous devons aussi impérativement veiller à ce que les obligations fondamentales du Traité soient fidèlement mises en œuvre, notamment par la mise en place de régimes de contrôle rigoureux au niveau national.

Sur ce point, je suis inquiet par l’écart qui existe entre le devoir d’assurer le respect du droit international humanitaire lors des transferts d’armes, et les pratiques effectives de transferts de trop nombreux États. Le CICR est directement confronté à cet écart dans nombre de pays où nous voyons les conséquences terribles de la disponibilité généralisée et l’utilisation abusive des armes, qui facilitent les violations du droit international humanitaire, entravent l’assistance médicale et humanitaire vitales, provoquent des déplacements et prolongent les conflits armés. Comme les armes continuent d’affluer, par le biais de transferts ouverts ou clandestins, ou par détournements, vers des conflits armés d’une très grande violence, tels que ceux que nous observons aujourd’hui dans certaines parties du Moyen-Orient et d’Afrique, il est urgent de combler l’écart entre le droit et la pratique.

C’est en voyant comment le Traité sur le commerce des armes comblera cet écart et changera la vie des populations dans les années à venir que l’on pourra véritablement mesurer son succès. Si les États adhérent au Traité, mais continuent de transférer des armes aux belligérants en commettant des crimes de guerre ou des violations graves des droits de l’homme, cela compromettra gravement l’objectif humanitaire du Traité sur le commerce des armes et sa crédibilité.

CICR: Comercio de Armas: debemos poner fin a la transferencia ilegal de armas

. . DESARME Y SEGURIDAD . .

Un declaración de la Comite Internacional de la Cruz Roja

Primera Conferencia de los Estados Partes en el Tratado sobre el Comercio de Armas, en Cancún, México, del 24 al 27 de agosto. Declaración del presidente del CICR, Peter Maurer, transmitido a la Conferencia en forma de mensaje en vídeo:

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video

Tengo el honor de dirigirme a ustedes hoy, en esta ocasión histórica que representa la Primera Conferencia de los Estados Partes en el Tratado sobre el Comercio de Armas, instrumento que promete reducir los enormes sufrimientos humanos causados por la disponibilidad generalizada y deficientemente reglamentada de armas convencionales.

El Tratado sobre el Comercio de Armas establece una normativa mundial para que las transferencias de armas se efectúen de manera responsable. Al exigir a los Estados Partes que tomen en cuenta el respeto del derecho internacional humanitario y el derecho de los derechos humanos en las decisiones relacionadas con la transferencia de armas y que adopten medidas para prevenir la desviación de armas, este Tratado ayudará a que las armas no terminen en manos de quienes las usarían para cometer crímenes de guerra, violaciones graves de los derechos humanos y otros delitos graves.

Al adoptar este instrumento, los Estados han reconocido que ya no es posible considerar las armas y las municiones sólo como un artículo comercial más. Han reconocido que las transferencias de armas exigen precauciones particulares debido a los daños devastadores e irreparables que causan cuando las armas caen en las manos equivocadas. Y han reconocido explícitamente que el comercio de armas responsable se basa en la cooperación, la transparencia y el intercambio de información, elementos críticos para la construcción de confianza entre los Estados y, por ende, para la eficacia del Tratado.

El objetivo del Tratado, consistente en incrementar la responsabilidad y la transparencia del comercio internacional de armas convencionales, dependerá no sólo de que los Estados implementen los requisitos en él establecidos, sino también de la apertura y la transparencia de los foros establecidos en virtud del Tratado para examinar su implementación y su funcionamiento, en particular de la Conferencia de los Estados Partes. Un fuerte nivel de transparencia, sobre todo en los informes inicial y anual estipulados en el Tratado y en la revisión de su funcionamiento por la Conferencia de los Estados Partes, facilitará la cooperación y fomentará la confianza necesaria para el éxito del Tratado. El CICR insta a los Estados Partes a tener presente este aspecto en las decisiones que adopten esta semana, particularmente con respecto a las normas de procedimiento y al mecanismo de presentación de informes.

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Question for this article:

Do you think handguns should be banned?, Why or why not?

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Nunca se resaltará lo suficiente la enorme importancia del Tratado sobre el Comercio de Armas y del hito que representa esta Primera Conferencia de los Estados Partes. Si hoy hemos alcanzado esta instancia, es gracias a todos los que trabajaron incansablemente durante la última década y media para hacer realidad este Tratado: los Estados que impulsaron el proceso que condujo a su adopción; las Naciones Unidas y el Movimiento Internacional de la Cruz Roja y de la Media Luna Roja, cada uno de los cuales llamó la atención acerca del alto costo humano de las transferencias deficientemente reglamentadas; y, por supuesto, las organizaciones no gubernamentales que primero exhortaron a adoptar un tratado sobre el comercio de armas, hace unos quince años. En este sentido, se ha de reconocer el importante papel desempeñado por la coalición de ONG “Control Arms” en la concreción del Tratado, así como los valiosos conocimientos y la asistencia que ahora aportan a las actividades relativas a su universalización e implementación.

En la fase de implementación del Tratado, cuyo punto de partida es esta Conferencia, se deben sostener y, si es posible, intensificar los esfuerzos concertados de los Estados, las organizaciones internacionales, las ONG y el CICR. Nuestra labor recién comienza. No sólo debemos luchar para lograr la mayor adhesión posible al Tratado, sobre todo de los Estados que participan en el comercio de armas, sino que además es fundamental asegurar que sus obligaciones esenciales se implementen al pie de la letra, particularmente a través del establecimiento de sistemas nacionales de control eficaces.

En este sentido, me preocupa la brecha entre el deber de hacer respetar el derecho internacional humanitario en el ámbito de las transferencias de armas y las prácticas de transferencia que numerosos Estados aplican en la realidad. El CICR es testigo directo de esta brecha en muchos países, en los que presenciamos las terribles consecuencias para los civiles de la disponibilidad generalizada de armas y de su uso indebido, que facilitan las violaciones del derecho internacional humanitario, ponen en peligro la asistencia médica vital y la ayuda humanitaria, provocan desplazamientos y prolongan los conflictos armados. Mientras las armas siguen fluyendo, sea a través de transferencias abiertas o encubiertas o de la desviación, hacia algunos de los conflictos armados más brutales, como los que hoy se desarrollan en algunas partes de Oriente Próximo y de África, existirá la urgente necesidad de acortar la distancia entre el derecho y la práctica.

La verdadera dimensión del éxito del Tratado sobre el Comercio de Armas será la medida en que este instrumento logre acortar esa distancia y cambiar la vida de las personas en los años venideros. Si los Estados se adhieren al Tratado pero siguen transfiriendo armas a beligerantes con antecedentes de haber cometido crímenes de guerra o violaciones graves de los derechos humanos, la finalidad humanitaria y la credibilidad del Tratado sobre el Comercio de Armas quedarán considerablemente menoscabadas.