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Projet Revalorisation du Vivre Ensemble – REVE au Niger

LIBERTE DE L’INFORMATION

an article by NIANDOU Ibrahim

Le Projet REVE (Présentation du Projet Revalorisation du Vivre Ensemble) est une initiative conjointe de CARE et de l’ONG nationale SOS Civisme Niger financé pour 20 mois (janvier 2014 à Août 2015). Il s’inscrit dans la 4e composante dite « Promotion de la tolérance et du dialogue intra et interreligieux » du Programme « Instrument de stabilité» financé par l’Union Européenne. Ce Programme est mis en œuvre sous la maîtrise d’ouvrage de la Haute Autorité à la Consolidation de la Paix et participe d’une approche préventive à l’égard des menaces qui pèsent sur le Niger. L’action du projet REVE complète celle d’autres initiatives qui visent le renforcement de la résilience (emploi des jeunes, empowerment des femmes, adaptation aux changements climatiques, sécurité alimentaire, urgences). Après 12 mois de mise en œuvre, le projet vient de faire une revue qui démontre des principales réalisations suivantes :
2036-REVE Niger

Les cadres institutionnels

• Une assistance au Ministère de l’intérieur, de la décentralisation, de la sécurité publique et des affaires coutumières et religieuses à se diagnostiquer et à doter sa direction des affaires religieuses d’un plan stratégique et d’un plan prioritaire

• Une assistance au Conseil Supérieur de la Communication à se doter d’un plan stratégique et à initier un programme d’appui aux médias

• Une assistance au Conseil Islamique du Niger pour conduire son diagnostic et se doter d’un plan stratégique et d’un plan prioritaire

Dialogue Inter religieux

• Une Revue des cadres régionaux de dialogue inter religieux existants et l’élaboration de leurs plans stratégiques

• Une assistance aux instances de coordination des Eglises Catholiques et Eglises/missions Evangéliques pour le renforcement du dialogue pour la paix.

Dialogue intra religieux

• Les répertoires des organisations religieuses sont établis dans les 4 régions afin de faciliter les relations

• Des rencontres entre organisations et leaders locaux sur des thématiques comme « les impacts des prêches sur la stabilité »

• Des subventions aux projets de communication pour le renforcement de la paix, portés par les organisations religieuses

L’engagement des jeunes pour la paix

• L’élaboration du répertoire des organisations de jeunes porteuses de projets pour le dialogue

• La Formations de 120 jeunes leaders formateurs sur la culture de la paix,

• Des subventions aux projets d’associations de jeunes pour le renforcement de la paix

A l’unanimité, les institutions et les organisations (religieuses et jeunes) estiment que ces résultats importants en si peu de temps sont dus à la transparente communication et l’ambiance de confiance instaurées dans les rapports entre les acteurs.

Le projet conduira un processus de mesures et de capitalisation qui permettront , en août 2015, d’en tirer et communiquer les résultats pour une meilleure contribution future de CARE et ses partenaires aux côtés de l’Etat, dans la prévention des conflits, causes profondes identifiées de vulnérabilités au Sahel.

Latest Discussion


In the face of armed conflicts in the Sahara-Sahel, Can a culture of peace be established?

Latest reader comment:

As often occurs, in the Sahara-Sahel, in the face of the terrible violence of religious extremists in Mali, there is a dialectic so that the more the violence, the more the demand for a culture of peace.

Amnesty International: L’année 2014 a été terrible

.. DROITS DE L’HOMME ..

an article by Salil Shetty, secrétaire général d’Amnesty International

Ainsi que nous l’avons montré dans le rapport annuel, l’année 2014 a été terrible pour ceux et celles qui cherchent à défendre les droits humains, et aussi pour les hommes, les femmes, les enfants qui vivent dans des régions en proie à la guerre.

amnesty-french

Les gouvernements profèrent de belles paroles sur la nécessité de protéger les civils. Cependant, dans le monde entier, les dirigeants politiques se sont montrés incapables de protéger les personnes qui en ont le plus besoin. Amnesty International est convaincue que cette situation peut et devra changer.

Le droit international humanitaire, qui s’applique aux situations de conflit armé, est parfaitement clair. Les attaques ne doivent jamais viser les civils. Le principe de la distinction entre civils et combattants est une garantie fondamentale pour celles et ceux qui sont pris dans la tourmente des guerres.

Et pourtant, à maintes reprises, les civils ont été durement touchés par les conflits. En cette année du 20e anniversaire du génocide rwandais, les responsables politiques ont souvent foulé aux pieds les règles de protection des civils, ou se sont gardés d’intervenir lorsque d’autres qu’eux commettaient des violations meurtrières de ces règles. . .

En 2014, 30 ans s’étaient écoulés depuis l’adoption de la Convention contre la torture des Nations unies. Pour ce traité-là également, Amnesty International avait fait campagne pendant de longues années, et c’est en partie grâce à cette action que le prix Nobel de la paix lui a été décerné en 1977.

Cet anniversaire méritait d’être célébré, mais il a aussi permis de souligner que la torture est toujours monnaie courante dans le monde entier, ce qui a incité Amnesty International à lancer sa grande campagne Stop Torture en 2014.

Le message formulé contre la torture a acquis une résonance particulière après la publication en décembre d’un rapport du Sénat américain, d’où se dégageait une propension à approuver le recours à la torture au cours des années suivant les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis. Il était étonnant de voir que certains responsables d’actes de torture semblaient encore penser qu’ils n’avaient nullement à en avoir honte.

De Washington à Damas, d’Abuja à Colombo, de hautes personnalités gouvernementales ont justifié d’atroces violations des droits humains en expliquant qu’elles répondaient à un impératif de « sûreté ». Mais c’est l’inverse qui est vrai. Si nous vivons aujourd’hui dans un monde si dangereux, c’est notamment à cause de ces violations. Une sécurité réelle ne peut être instaurée sans le respect des droits humains.

Nous avons bien souvent constaté que, même dans des périodes qui semblent de mauvais augure pour les droits humains – et peut-être tout particulièrement dans ces conditions – il est possible de susciter des changements remarquables.

Nous devons nourrir un espoir : au cours des années à venir, lorsque nous nous souviendrons de 2014, ce que nous avons vécu cette année-là sera jugé comme le point le plus bas, d’où nous nous serons élevés vers un avenir meilleur.

(Cliquez ici pour une version espagnole de cet article, ou ici pour une version anglaise.)

Question(s) related to this article:

What is the state of human rights in the world today?

Latest reader comment:

Each year we get overviews of the state of human rights in the world from Amnesty International and Human Rights Watch.

Amnistía Internacional : Un año demoledor

. . . . . DERECHOS HUMANOS . . . . .

un articulo de Salil Shetty, secretario general de Amnistía Internacional (abreviado)

Como se refleja en nuestro informe anual, 2014 ha sido un año demoledor para quienes intentaron defender los derechos humanos y quienes quedaron atrapados en el sufrimiento de las zonas en guerra.

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A los gobiernos se les llena la boca hablando de la importancia de proteger a la población civil. Y, sin embargo, los políticos del mundo han fracasado lamentablemente a la hora de proteger a las personas que más lo necesitan. Amnistía Internacional considera que se puede y se debe cambiar esto de una vez por todas.

El derecho internacional humanitario, que regula la conducta de las partes en los conflictos armados, no puede ser más claro al respecto. Los ataques no deben dirigirse nunca contra civiles. El principio de distinción entre civiles y combatientes es una salvaguardia fundamental para las personas atrapadas en los horrores de la guerra.

Sin embargo, una vez más, la población civil volvió a llevarse la peor parte del conflicto. En el año en que se conmemora el vigésimo aniversario del genocidio de Ruanda, los políticos pisotearon reiteradamente las normas que protegen a los civiles o miraron hacia otro lado ante quienes infringían estas normas con consecuencias letales. . .

En 2014 se cumplieron 30 años de la adopción de la Convención de la ONU contra la Tortura, otra convención en favor de la cual Amnistía Internacional hizo campaña durante muchos años, y uno de los motivos por los que en 1977 la organización recibió el premio Nobel de la Paz.

Este aniversario fue, por un lado, algo que celebrar, pero fue también una ocasión para señalar que la tortura sigue estando muy extendida en todo el mundo, motivo por el cual Amnistía Internacional lanzó este año su campaña mundial Stop Tortura.

Este mensaje contra la tortura adquirió especial resonancia tras la publicación en diciembre de un informe del Senado de Estados Unidos que demostraba que, durante los años posteriores a los atentados del 11 de septiembre de 2001 contra el país, existió una disposición a justificar la tortura. Asombrosamente, algunas de las personas responsables de los actos criminales de tortura aún parecían seguir creyendo que no tenían nada de qué avergonzarse.

Desde Washington a Damasco y desde Abuja a Colombo, los líderes gubernamentales han justificado terribles violaciones de derechos humanos arguyendo la necesidad de mantener la “seguridad” en el país. En realidad, ocurre lo contrario. Esas violaciones de derechos humanos son un motivo importante por el que hoy en día vivimos en un mundo tan peligroso. Sin derechos humanos no puede haber seguridad.

Hemos visto una y otra vez que, aun en épocas que parecen funestas para los derechos humanos —y quizá especialmente en esas épocas—, es posible generar un cambio extraordinario.

Debemos esperar que, cuando en años venideros miremos hacia 2014, lo que hemos vivido este año se considere un nadir —el punto más bajo alcanzable— a partir del cual nos hayamos alzado y creado un futuro mejor.

( Clickear aquí para la version inglês y aquí para la version francês )

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

What is the state of human rights in the world today?

Comentario más reciente: :

Each year we get overviews of the state of human rights in the world from Amnesty International and Human Rights Watch.

Boletín español, el 01 de marzo 2015

 LA PAZ POR EL TOURISMO  

En su discurso de apertura en el Simposio sobre la Paz a través del Turismo en Johannesburgo, Sudáfrica, el Secretario General de la Organización Mundial del Turismo (OMT) de las Naciones Unidas, Taleb Rifai, enumeró tres maneras en que el turismo puede promover la paz

“1. El turismo genera respeto y la comprensión mutua y promueve billones de encuentros que son pasos hacia la comprensión. Turismo promueve educación, puede ser sensible a la paz y hace viajeros ciudadanos del mundo.

‘2. Turismo crea muchos puestos de trabajo. Eso puede ayudar que las comunidades valoren su lugar en el mundo y lo que tienen que ofrecer. Puede ayudar a la gente valorar su música, el arte, la gastronomía, etc.

“3. Turismo lleva a la reconciliación entre las sociedades. Puede abrir las mentes de las personas a otros visitantes.”

En los tres días siguientes, del 17 al 19 de febrero, los oradores ilustran cómo estos temas se manifiestan en la práctica.

Encuentros que contribuyen a la comprensión son organizados por Tour2.0 en las ciudades de Sudáfrica de Soweto y Alexandra, según lo descrito por Daniel Adidwa. Como él dice, “Cada comunidad tiene una historia única para contar. Permitimos al visitante descubrir sus particularidades.”

La creación de empleo fue enfatizado por David Scowsill, director general del Consejo Mundial de Viajes y Turismo. Turismo “emplea a más de 12 millones de personas en Europa y 63 millones en Asia y 8 millones en África… Crece 1% más rápido que el resto de la economía mundial cada año.”

La reconciliación es promovida por parques de la paz transfronterizos en el sur de África, como se describió en la conferencia por Paul Bewsher. Aunque la atención se centra principalmente en la protección del patrimonio natural, también hay ejemplos de iniciativas culturales transfronterizas como Ae Hai Kalahari Heritage Park, que está gestionado en parte por representantes de la comunidad ‡ khomani san y Mier que fueron separados previamente por las fronteras coloniales.

El Instituto Internacional para la Paz a través del Turismo, y su presidente Lou D’Amore, han iniciado el simposio, como se informó anteriormente en CPNN. El Instituto ahora se está expandiendo, había una gran delegación, incluyendo 14 jóvenes de la nueva IIPT India. Ellos dijeron a CPNN que: “Para nosotros, en el pasado, el turismo era simplemente para descubrir nuevos lugares, pero ahora nos damos cuenta de que esto puede ser la oportunidad de conocer gente nueva y para promover la paz.”

Otra reunión de alto nivel se llevó a cabo en Camboya hace dos semanas con objetivos muy similares. La conferencia, dirigida por la Organización Mundial del Turismo (OMT) de las Naciones Unidas y la Organización de las Naciones Unidas para la Educación, la Ciencia y la Cultura (UNESCO), aborda la cuestión de cómo aprovechar el poder de turismo y cultura para reducir la pobreza, crear empleos, proteger el patrimonio natural y cultural y promover el entendimiento internacional.

      
DERECHOS HUMANOS

lgbt
La Caribbean Union of Teachers promueve los derechos LGBT

IGUALDAD ENTRE MUJERES Y HOMBRES


Esther Abimiku Ibanga to receive the Niwano Peace Prize

DESARME & SEGURIDAD


33 Latin American and Caribbean states call for negotiations on a nuclear ban treaty
355

DESARROLLO SOSTENIBLE


Peace Through Tourism by Taleb Rifai, Secretary General of UNWTO

LIBERTAD DE INFORMACIÓN


NetGain: Let’s Work Together to Improve the Internet

PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA


México: Ley de Justicia Alternativa debe estar aprobada antes de agosto

TOLERANCIA & SOLIDARIDAD


República Dominicana: Procuraduría y Fundación Justicia y Transparencia coordinan promover cultura de paz

EDUCACIÓN PARA LA PAZ


Más de 100.000 escolares participan en la red de centros ‘Escuela: Espacio de Paz’ en Almería, España

Bulletin français 1 mars 2015

LA PAIX A TRAVERS LE TOURISME

Dans son discours d’ouverture du Symposium sur le sujet de la paix à travers le tourisme, qui s’est déroulé à Johannesburg en Afrique du Sud, le Secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies, Taleb Rifai, a énuméré trois moyens par lesquels le tourisme peut promouvoir la paix

“1. Le tourisme favorise le respect et la compréhension mutuels. Il provoque des millards des rencontres ce qui constitue de réelles étapes vers une meilleure compréhension. Le tourisme construit notre éducation, il peut sensibiliser à la paix et rendre les voyageurs citoyens du monde.”

“2. Le tourisme améliore les moyens de subsistance et crée de nombreux emplois. Il peut aider les communautés en valorisant leur place dans le monde et ce qu’elles ont à offrir, en faisant découvrir leur musique, leur art, leur gastronomie, etc.”

“3. Le tourisme mène à la réconciliation au coeur des sociétés et entre elles. Il peut ouvrir l’esprit des gens à d’autres visiteurs.”

Sur les trois jours qui ont suivi l’ouverture du Symposium, du 17 au 19 février, les intervenants ont illustré comment ces thèmes s’appliquent dans la pratique.

Des rencontres qui contribuent à la compréhension sont organisées par l’organisation ‘Tour2.0’ dans les townships sud-africains de Soweto et Alexandra. Daniel Adidwa l’explique très bien : “Chaque communauté a une histoire unique à raconter. Nous permettons au visiteur de découvrir leurs particularités.”

La création d’emplois a été soulignée par David Scowsill, chef de la direction du Conseil Mondial du Voyage et du Tourisme. Le tourisme “emploie plus de 12 millions de personnes en Europe, 63 millions en Asie et 8 millions en Afrique… .. La vitesse de sa croissance est supérieure de 1% au reste de l’économie mondiale chaque année.”

La réconciliation est promue par les ‘Peace Parks transfrontaliers‘ en Afrique australe, comme le décrit Paul Bewsher lors de la conférence. Bien que l’accent soit mis principalement sur la protection du patrimoine naturel, il y a aussi des exemples d’initiatives culturelles transfrontalières telles que ‘l’Ae Hai Kalahari Park’ un Patrimoine qui est géré en partie par des représentants des communautés ‡Khomani San et Mier qui étaient auparavant séparées par des frontières coloniales.

L’Institut international pour la paix par le tourisme et son Président, Lou d’Amore, ont initié la conférence, comme nous l’avons indiqué précédemment dans CPNN. L’Institut est maintenant en expansion, car il y avait une importante délégation, dont 14 jeunes, de la nouvelle IIPT Inde. Ils ont dit à CPNN que «Pour nous dans le passé, le tourisme était simplement de découvrir de nouveaux endroits, mais maintenant nous nous rendons compte que cela peut être une chance de connaître de nouvelles personnes et de promouvoir la paix.”

Une autre réunion de haut niveau a eu lieu au Cambodge deux semaines plus tôt avec des objectifs très semblables. La Conférence, dirigé par “l’Organisation mondiale du tourisme des Nations Unies” (OMT) et “l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture” (UNESCO) a abordé la question de savoir comment exploiter la puissance du tourisme et de la culture pour réduire la pauvreté, pour créer des emplois, protéger le patrimoine naturel et culturel et promouvoir la compréhension internationale.

      
DROITS DE L’HOMME

lgbt
Le Caribbean Union of Teachers défend les droits des personnes LGBT

FEMMES, EGALITE ET PAIX


Esther Abimiku Ibanga to receive the Niwano Peace Prize

DÉSARMEMENT & SÉCURITÉ


Le Centre de la paix organise une séance de soutien psychologique pour les enfants de Gaza

DEVELOPPEMENT DURABLE


Peace Through Tourism by Taleb Rifai, Secretary General of UNWTO

LIBERTÉ DE L’INFORMATION


Lancement du réseau jeunesse et culture de la paix en Afrique

PARTICIPATION DÉMOCRATIQUE


Rethinking Post-Election Peacebuilding in Africa

TOLERANCE ET SOLIDARITÉ


Abu Dhabi: Muslims Plan Peace Emissaries to End Conflicts

ÉDUCATION POUR LA PAIX


Almería, Spain: Over 100,000 students participate in the network of centers “The school as a space of peace”

La 2è édition du Festival Amani fixée en mi-février à Goma

. . EDUCATION POUR LA PAIX . .

An article by Radio Okapi

Video: Goma music festival

La deuxième édition du Festival de musique Amani est annoncée du 13 au 15 février à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu. Placée sous le thème : «Danser pour changer et chanter pour pour la paix », cette manifestation bénéficie de l’appui de plusieurs partenaires dont la Monusco et l’ONG Francopholies.

Goma

Une scene du video du première édition du festival

Ce festival entend consolider la culture de la paix et la réconciliation entre peuple d’une contrée en proie à des conflits armés depuis plus de deux décennies.

De nombreux artistes africains sont attendus dans ce festival dont l’Ivoirien Tiken Jah Fakoly et le chanteur malien Habib Koite.

La première édition du festival Amani, organisée en février 2014, avait drainé des milliers d’habitants de la région des Grands Lacs.

Les artistes-musiciens Tiken Jah Fakoly et Habib Koite parlent de ce festival au micro de Marcel Mayoyo.

( Cliquez ici pour une version anglaise)

 

Question related to this article:

What place does music have in the peace movement?

As of now, there are 33 CPNN articles on this theme, which reflects the extent to which music is the universal language of peace!

Le Caribbean Union of Teachers défend les droits des personnes LGBT

. DROITS DE L’HOMME .

an article by Internationale de l’Education

Les dirigeant(e)s syndicaux/ales ont franchi un pas important dans la voie d’une meilleure compréhension des questions LGBT sous l’angle des droits de la personne, alors que la région s’ouvre à la tolérance et à l’acceptation de la diversité sexuell

lgbt
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Lisa Shoman

Afin de mettre un terme à la discrimination des étudiant(e)s et des enseignant(e)s LGBT dans les écoles caribéennes, les syndicats d’enseignants ont pris de petites mesures pour faire accepter la diversité sexuelle.

Les droits de la personne étaient l’élément central de la discussion dirigée par l’une des principales personnalités politiques des Caraïbes et ancienne ministre des Affaires étrangères du Belize, Lisa Shoman, alors qu’elle animait un débat sur « Les droits des étudiant(e)s et des enseignant(e)s LGBT » lors de la 6e Conférence de l’éducation du Caribbean Union of Teachers (CUT) à Belize City, en Amérique centrale, en décembre.

Les syndicats d’enseignants prennent des mesures contre l’homophobie dans le secteur de l’éducation

Shoman, qui est également une avocate des droits humains, avait pour difficile mission d’aider les enseignant(e)s à dépasser ce qui a été un sujet de controverse dans toute l’histoire de la région, en grande partie sous l’influence de valeurs et de croyances religieuses et culturelles. Elle s’est efforcée de mettre en avant les droits humains pour les séparer de la question des croyances. Toutefois, dans de nombreux pays, le principal obstacle était la législation.

« La législation contient encore des lois dépassées », qui pénalisent les gens en raison de leurs préférences sexuelles, a déclaré Davanand Sinanan, Président de la Trinidad and Tobago Unified Teachers Association (TTUTA) et membre du Bureau exécutif de l’Internationale de l’Education (IE). « En fait, à Trinidad et Tobago, depuis plus de trois ans, nous n’avons pas été capables de mettre en place une politique nationale en matière de genre du fait de l’opposition des instances religieuses aux dispositions mentionnant les droits des personnes LGBT. »

Sinanan a clairement indiqué qu’il veut que ses écoles et la société changent de regard et reconnaissent que toute personne doit bénéficier de droits égaux afin d’éliminer les discriminations.

A l’issue de la discussion, un grand nombre de participant(e)s ont convenu qu’il était nécessaire de mener une vaste campagne d’éducation sur la question dans la région afin que les enseignant(e)s soient en mesure de faire face aux choix de vie de façon professionnelle et sans porter de jugement, en particulier en dispensant des services éducatifs respectueux des jeunes dans le plein respect de leurs droits et de la dignité de tous ainsi que de la diversité en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre.

A l’heure actuelle, 11 des 12 Etats du Commonwealth des Caraïbes considèrent l’homosexualité comme un crime en vertu de lois introduites par le colonialisme britannique. Nombre de ces lois seraient indirectement appliquées au travers de pratiques policières d’extorsion et d’autres abus punis par la loi, de la stigmatisation sociale et d’une discrimination directe. L’application du droit pénal se dresse comme un obstacle, qui revient à refuser l’accès et le droit à l’éducation, à l’emploi, au logement, à la santé et à d’autres services publics.

[Merci au Good News Agency pour avoir nous informer de cet article.]

(Cliquez ici pour une version en espagnol de cet article et ici pour une version en anglais.)

 

Question related to this article:

The struggle against homophobia, Is progress being made in your community?

It would seem from articles on CPNN that progress is being made in some communities. In particular this is true in the United States according to the article by Danny B and in Bulgaria according to the article by Diana Tashkova.

México: Ley de Justicia Alternativa debe estar aprobada antes de agosto

. PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA .

un artículo de Dulce Rodríguez Calderón, Entrelíneas

El magistrado presidente del Supremo Tribunal de Justicia del Estado, José Miguel Salcido Romero, confió en que la Ley de Justicia Alternativa esté lista para antes del 17 de agosto, fecha en la que comienza el nuevo sistema de justicia oral en material civil y familiar en Chihuahua.

Mexico

El magistrado presidente del Supremo Tribunal de Justicia del Estado, José Miguel Salcido Romero

“Ya enviamos la iniciativa al Congreso del Estado y esperemos que muy pronto se procese, eso nos tiene muy contentos porque vamos a poder consolidar nuestro sistema de justicia alternativa de manera muy sólida”, compartió en entrevista el titular del Poder Judicial.

Al ser cuestionado sobre si la nueva ley debe ser analizada, en caso dado modificada y aprobada por el Poder Legislativo antes del mes de agosto comentó que la cuestión del tiempo es un tema que le compete al Congreso del Estado, pero: “yo diría que sí, porque nos ayudaría mucho que este tema esté firme al momento en que entre en vigor el nuevo sistema oral de justicia civil y familiar”.

Cabe recordar que el objetivo principal de la misma es fomentar la convivencia armónica como herramienta principal para el dialogo, lo que llevará sin duda a la justicia pronta y expedita, pues las partes llegarán a un común acuerdo a través de la mediación con lo que se evitarían procesos judiciales.

Además es importante mencionar que de aprobarse, se abrogaría la Ley de Mediación, misma que data del 7 de junio del 2003 (que fue planeada para un Centro de Mediación que nunca inició operaciones) y hoy en día resulta insuficiente para las nuevas atribuciones que el Supremo Tribunal de Justicia tendrá con la implementación del Centro de Justicia Alternativa.

La nueva Ley Orgánica del Poder Judicial prevé la existencia del Centro de Justicia Alternativa que promoverá la solución de controversias y la cultura de paz para las personas físicas o morales en sus casos ya sea civil, laboral, penal y mercantil.

La Justicia Alternativa es un procedimiento para la solución de controversias mucho más amplia en lo que refiere a la conciliación y mediación, por lo que se propone se expida la Ley.

( Clickear aquí para la version inglês)

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

Restorative justice, What does it look like in practice?

Comentario más reciente:

On this theme, I encourage CPNN readers to read Restorative Justice for Children in Brazil.

La Caribbean Union of Teachers promueve los derechos LGBT

. . . . . DERECHOS HUMANOS . . . . .

Un articulo del Internacional de la Educación

Los/as dirigentes sindicales han dado un importante paso adelante en el camino para desarrollar una mejor comprensión de las cuestiones LGBT desde una perspectiva de derechos humanos, cambiando la tolerancia y aceptación de la diversidad sexual en la región.

lgbt
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Lisa Shoman

En un esfuerzo por poner fin a la discriminación de los/as estudiantes y docentes LGBT en las escuelas del Caribe, los sindicatos docentes dieron pequeños pasos con el fin de encontrar soluciones para fomentar la aceptación de la diversidad sexual.

Los derechos humanos fueron el eje del argumento dirigido por Lisa Shoman, una de las principales figuras políticas del Caribe y el exministra de Relaciones Exteriores de Belice, que facilitó un debate sobre ” los derechos de la comunidad de estudiantes y docentes LGBT ” en la sexta Conferencia de Educación de la Caribbean Union of Teachers’ (CUT) que tuvo lugar en la Ciudad de Belice, Centroamérica, el pasado mes de diciembre.

Shoman, que también es abogada en derechos humanos, se enfrentó al reto de ayudar a los/as docentes a superar lo que ha sido un tema polémico en la historia de la región, muy influida por las creencias y los valores religiosos y culturales, trabajando para resaltar los derechos humanos y separarlos de las creencias. Sin embargo, la ley ha sido en muchos países un obstáculo importante.

“Hay todavía leyes anticuadas en los estatutos” que sancionan a las personas por sus preferencias sexuales, señaló Davanand Sinanan, Presidente de la Trinidad and Tobago Unified Teachers Association (TTUTA) y miembro del Consejo Ejecutivo de la Internacional de la Educación (IE). “De hecho, en Trinidad y Tobago no hemos sido capaces de llevar a buen término una política de género en tres años debido a la oposición de los cuerpos religiosos a las cláusulas que se refieren a los derechos de las personas LGBT”.

Sinanan dejó claro que quiere que sus escuelas y la sociedad cambien de perspectiva y reconozcan la igualdad de derechos de todas las personas con el fin de acabar con la discriminación”.

Tras el debate, muchos/as coincidieron en que existe la necesidad de una amplia educación sobre el tema dentro de la región, con el fin de asegurar que los/as docentes sean capaces de enfrentarse a la variedad de estilos de vida de una manera profesional y sin juicio, especialmente los servicios educativos dirigidos a jóvenes que se entregan con el pleno respeto de derechos y dignidad para todos/as, en la diversidad de orientación sexual e identidad de género.

Actualmente, 11 de los 12 países el Caribe que pertenecen a la Commonwealth criminalizan la homosexualidad bajo leyes introducidas por el colonialismo británico. Muchas de estas leyes se aplican de manera indirecta en la extorsión policial y en otros abusos sancionados por el estado, estigma social y discriminación directa. La ejecución penal aparece como una barrera que niega el acceso y el derecho a la educación, empleo, vivienda, salud y otros servicios públicos.

[Gracias a la Good News Agency por informarnos al artículo.]

( Clickear aquí para la version inglês y aquí para la version francês )

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo

The struggle against homophobia, Is progress being made in your community?

It would seem from articles on CPNN that progress is being made in some communities. In particular this is true in the United States according to the article by Danny B and in Bulgaria according to the article by Diana Tashkova.

Mexico: Alternative Justice Act should be approved before August

. DEMOCRATIC PARTICIPATION .

an article by Dulce Rodríguez Calderón, Entrelíneas

The Chief Justice of the State, José Miguel Salcido Romero, has indicated that the law for Alternative Justice will be ready before August 17, when the new system of oral justice for civil and family matters begins in Chihuahua.

Mexico
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The Chief Justice of the State, José Miguel Salcido Romero

“We have sent the initiative to the State Congress and hopefully it will soon be processed, that makes us very pleased because we will be able to consolidate our alternative justice system in a very solid manner,” he shared in an interview as the head of the judiciary.

When asked whether the new law must be analyzed, optionally modified and approved by the Legislature before August, he responded that these are matters to be decided by the State Congress, but: he added, “I would say yes, because it would help very much this issue to be firmly established by the time the new oral system of civil and family justice comes into force.”

We need to keep in mind that the main purpose of the law is to promote social harmony as the main tool for dialogue, which will undoubtedly aid justice to be prompt and expeditious, so that parties can come to agreement through mediation and avoid prosecution.

It is also important to mention that if approved, the Mediation Act, which dates from June 7, 2003 (which was planned for Mediation Center that never began operations) is insufficient for today’s needs for implementation of the Alternative Justice Center.

The new Organic Law of the Judiciary provides for the existence of the Centre for Alternative Justice to promote the settlement of disputes and the culture of peace for individuals or corporations in civil, labor, criminal and commercial cases.

As a procedure for resolving disputes, Alternative Justice is much wider when it comes to conciliation and mediation, which is the reason to propose the new Act.

(Click here for a Spanish version of this article)

Question related to this article: