Category Archives: Uncategorized

Libro: “Voces contra la Violencia”

. IGUALDAD HOMBRES/MUJERES .

Un libro del ONU Mujeres

“Voces contra la Violencia” es un currículo educativo desarrollado por la Asociación Mundial de las Guías Scouts (AMGS) y ONU Mujeres, con insumos de jóvenes. Es un programa mixto diseñado para distintos grupos de edad que abarcan desde los 5 hasta los 25 años de edad. Brinda a las personas jóvenes herramientas y experiencia para entender las causas profundas de la violencia en sus comunidades, educar e implicar a sus iguales y a las comunidades para prevenir esta clase de violencia, y saber adónde acudir en busca de ayuda en caso de sufrir violencia. 

WAGGS-SPANISH

El programa incluye un Manual para educadores de pares que les ayudará a impartir actividades de educación no formal y sesiones educativas adecuadas a la edad. Los grupos más jóvenes pueden empezar con la narración de historias y juegos que les inciten a pensar sobre los prejuicios y estereotipos de género, mientras que los grupos de mayor edad pueden organizar concursos de carteles, realizar visitas a refugios locales y ofrecerse como voluntarias o voluntarios, o crear campañas y proyectos comunitarios locales para abordar formas específicas de violencia contra las mujeres y niñas.

“Voces contra la Violencia” es una herramienta para personas jóvenes de todo el mundo. Se puede adaptar al contexto nacional, traducir a idiomas locales e implementarse en escuelas y comunidades en colaboración con organizaciones de jóvenes, socios de las Naciones Unidas y gobiernos.

Para obtener más información sobre el currículo y la manera de distribuirlo entre las niñas, los niños y jóvenes, visite: Nuestras soluciones.

Ver en línea/descargar

Manual (en inglés)

Formas de entrega  [ enesfr ]

Actividades (en inglés)

( Clickear aquí para la version inglês.)

Question related to this article:

Bolivia: Los conciliadores se forman a contrarreloj en cultura de paz

. . EDUCACIÓN PARA LA PAZ . .

Un artículo de Henry A. Aira Gutiérrez, Correo del Sur

Cultura de paz y resolución de conflictos son frases a las que tendrán que acostumbrarse los bolivianos para no llegar a los tribunales. Dentro de la implementación de los nuevos Códigos Morales, a partir de este 6 de agosto, está también la figura de los conciliadores, que tienen por objeto reducir la carga procesal en materia civil y comercial. Tras su selección por el Consejo de la Magistratura, corre su capacitación por el lapso de 20 días.

Bolivia
Conciliadores reciben insumos de docentes para solucionar conflictos.

En cuatro aulas de la Casa Tréveris, los más de 150 conciliadores reciben capacitación teórico práctica en la función que cumplirán desde el siguiente mes.

“El curso intensivo está organizado en cuatro módulos: el primero relacionado con la justicia y derechos humanos, el segundo dedicado a la cultura de paz, teoría del conflicto y negociación como base de la conciliación; el tercero de comunicación y conciliación; y el cuarto referido al proceso de la conciliación tomando en cuenta sus principios, modelos y fases del modelo facilitativo”, explicó Antonio Aramayo, director ejecutivo de la Fundación UNIR, institución a cargo de la formación de los conciliadores.

Los nuevos funcionarios se capacitan en instrumentos que tendrán que aplicar cuando les corresponda conciliar las controversias de las personas, esto desde el mes de agosto, cuando la que entrarán en vigencia los nuevos Códigos Morales.

La Ley del Órgano Judicial indica que la conciliación es “el medio de solución inmediata de conflictos y de acceso directo a la justicia, así como la primera actuación procesal”. Es decir, la conciliación judicial tiene como finalidad no sólo ampliar el acceso a la justicia sino introducir la cultura de paz, métodos pacíficos de arreglo de conflictos para soluciones compartidas.

“La cultura de paz es un avance en el país y ahora lo estamos implementando con los nuevos códigos que en la práctica es la resolución de las controversias a través de la conciliación, esto es bueno, crear la cultura de paz y no ser un país de enfrentamiento, sino de resolución rápida”, manifestó Patricia Yufra, conciliadora del distrito de Quillacollo (Cochabamba).

“Estamos aprendiendo a conciliar, ver más allá de la ley, que analicemos sus problemas y que ellos mismos (personas en conflicto) resuelvan sus conflictos y controversias en paz y mantener las relaciones humanas”, acotó Erick Suárez, conciliador por Santa Cruz.

Así como estos dos profesionales abogados, muchos son capacitados y esperan volver a sus distritos el 7 de agosto para comenzar su trabajo.

( Clickear aquí para la version francês o aquí para la version inglês.)

Question for this article:

Bolivie: Les médiateurs sont formées dans la culture de la paix

. . EDUCATION POUR LA PAIX . .

Un article de Henry Aira A. Gutierrez, Correo del Sur

Culture de la paix et la résolution des conflits sont des phrases que les Boliviens devons utiliser à ne pas atteindre les tribunaux. Dans la mise en œuvre des nouveaux codes moraux de cette Août 6, il est aussi la figure des médiateurs, qui visent à réduire la charge de travail des courts de justice en matière civile et commerciale. Après sélection par le Conseil de la magistrature, Ils prennent une formation pour une période de 20 jours.

Bolivia
Les animateurs reçoivent l’instruction d’enseignants pour résoudre les conflits.

Dans quatre salles de classe à la Casa Tréveris, plus de 150 médiateurs reçoivent une formation pratique et théorique dans la fonction qu’ils vont utiliser dès le mois prochain.

“Le cours intensif est organisé en quatre modules: le premier se concerne la justice et les droits de l’Homme, la seconde est dédiée à la culture de la paix, la théorie du conflit comme une base de négociation et de médiation; la troisième, communication et médiation; et le quatrième se réfère au processus de réconciliation en tenant compte des principes, des modèles et des phases du modèle de facilitation », a déclaré Antonio Aramayo, directeur exécutif de la Fondation UNIR, une institution chargée de la formation des médiateurs.

Les nouveaux agents sont formés dans des instruments qu’ils doivent appliquer aux controverses de personnes, à partir de Août, quand ils entreront en vigueur les nouveaux codes Morales.

La loi sur la magistrature indique que la médiation est «le moyen de résolution des conflits et l’accès direct et immédiat à la justice ainsi que la première action de procédure”. Autrement dit, la médiation judiciaire vise non seulement à élargir l’accès à la justice, mais d’introduire la culture de la paix, les méthodes pacifiques de règlement des conflits à des solutions partagées.

“La culture de la paix est une percée dans le pays et maintenant nous mettons en œuvre les nouveaux codes en pratique pour la résolution des différends par voie de médiation, ce qui est bon, de créer une culture de paix et un pays qui n’est pas de confrontation, mais de la résolution rapide», a déclaré Patricia Yufra, district conciliante Quillacollo (Cochabamba).

“Nous apprenons à concilier, à regarder au-delà de la loi, d’analyser leurs problèmes pour qu’ils (les gens en conflit) pouvoir résoudre leurs conflits et différends pacifiquement et maintenir des relations humaines”, a dit Erick Suarez, médiateur de Santa Cruz.

Comme ces deux avocats professionnels, beaucoup sont formés et devraient retourner à leurs quartiers le 7 Août pour commencer leur travail.

(cliquez ici pour la version anglaise de cet article ou ici pour la version espagnole.)

Question pour cet article:

What are the methodologies for a culture of peace?

Journée Nelson Mandela : l’ONU appelle à prendre ‘Madiba’ en exemple pour bâtir un monde meilleur

. PARTICIPATION DÉMOCRATIQUE .

Un article par le Centre d’Activités de l’ONU

A l’occasion de la Journée internationale consacrée à Nelson Mandela [18 juillet], le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a appelé les gens du monde entier à prendre exemple sur la foi inébranlable en la justice dont a fait preuve, tout au long de sa vie, le leader sud-africain décédé en 2013, pour tenter de construire un monde meilleur pour tous.

mandela
Photo ONU/Pernaca Sudhakaran

« La Journée internationale Nelson Mandela est chaque année l’occasion d’encourager chacun, partout dans le monde, à influer sur le cours des choses dans sa collectivité en prenant le temps de servir les autres », a déclaré le chef de l’ONU dans un message.

Le thème retenu pour cette journée, ‘Agissez ! Incarnez le changement’, rappelle à quel point il importe de travailler tous ensemble pour bâtir un monde paisible, viable et équitable, a poursuivi le Secrétaire général.

Pendant 67 ans, Nelson Mandela a mis sa vie au service de l’humanité, en tant qu’avocat spécialiste des droits de l’homme, prisonnier de conscience, architecte international de la paix et premier Président démocratiquement élu d’une Afrique du Sud libre.

En novembre 2009, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 18 juillet Journée internationale Nelson Mandela, en l’honneur de la contribution apportée par l’ex-Président sud-africain à la culture de la paix et de la liberté.

« Nelson Mandela a consacré 67 années de sa vie à la lutte pour les droits de l’homme et la justice sociale. Les Nations Unies se joignent à la Fondation Nelson Mandela pour demander aux personnes du monde entier de consacrer au moins 67 minutes de leur temps à une activité d’intérêt général le 18 juillet, date de la naissance de Madiba », a appelé M. Ban.

Le Secrétaire général a souligné que le soixante-dixième anniversaire de l’ONU, cette année, offre le moment le plus opportun pour réfléchir à la vie et à l’œuvre de M. Mandela, qui a incarné « les plus hautes valeurs de l’Organisation ».

Aussi, pour cette édition 2015, les Nations Unies décerneront le tout premier Prix Nelson Rolihlahla Mandela, institué par l’Assemblée générale en 2014. Cette distinction honorifique sera accordée tous les cinq ans à deux personnes, un homme et une femme, qui, par leur dévouement, leurs efforts et leur compassion, ont poursuivi la voie tracée par le leader sud-africain.

« Nelson Mandela disait qu”il vous appartient de bâtir un monde meilleur pour tous ceux qui l’habitent’. Continuons donc à nous inspirer chaque jour de l’exemple que ce meneur d’hommes, motivé par une foi inébranlable en la justice et l’égalité pour tous, a donné tout au long de sa vie, et de son appel à toujours nous efforcer de bâtir un monde meilleur pour tous », a déclaré M. Ban.

La cérémonie de remise du Prix des Nations Unies Nelson Rolihlahla Mandela aura lieu le 24 juillet, parallèlement à l’évènement annuel commémorant la Journée, dans la Salle du Conseil de tutelle au siège des Nations Unies à New York.

(Cliquez ici pour l’article en anglais ou ici pour l’article en espagnol. )

Latest Discussion

What is the legacy of Nelson Mandela for us today?

Comment by Rama Singh posted: Dec. 31 2013

ON MANDELA’S LASTING LEGACY

In death, as in his life, Nelson Mandela has captured the imagination of the world. Mourning mixed with celebration has electrified crowds all over South Africa and elsewhere. His life’s achievements and his lasting legacy are the topics of discussions. He has been described as a great warrior, a great liberator, the last giant in the fight against colonialism, forgiver, peace maker, and in many other ways.

All this week, Mandela’s lasting legacy has been on my mind. We tend to capture the legacies of great men and women in a word or two. A scientist becomes famous for an important discovery, a writer for a famous book, a musician for a great composition, and so on.

People like Mandela fall in a different category. He is in the category of Mahatma Gandhi and Dr. Martin Luther King. They are known for their fights on behalf of oppressed people; they are known for their personal sacrifice, and for their moral authority. If we are to look for words to associate with these men, it will be “nonviolence” for Gandhi and “love’ (beloved community) for Dr. King. But what about Mandela- how will we describe his legacy?

What were the important transformational changes in Mandela’s life?

Mandela the great warrior: Mandela has been described as a great warrior, but he was no ordinary warrior. All legendary warriors, mythical or real, are known for the destruction of their enemies. Mandela was different; he did not seek annihilation of his enemy; he transformed his enemy into his collaborator.

Mandela the resilient sufferer: I know of no other person living or dead who was forcefully made to disappear from the scene for this long (incarceration for 27 years) and who survived and made his triumphatic return. Gandhi said there is no other way to show your love for the suffering of your loved ones than to suffer yourself with them, for them. Mandela suffered the longest because his work was the hardest.

Mandela the great liberator: Colonial rulers are known for their ruthless treatment and putting down of citizens but South Africa was not a typical colonial rule. The rulers were Afrikaners, citizen of South Africa. I know of no other country, outside of the United States, where the blacks were so harshly treated by another segment of their own country. It was a true liberation. Thanks to Mandela, sad songs of seeking freedom through death were transformed into freedom in life.
Mandela the magnanimous forgiver: Gandhi’s nonviolence is a complete philosophy of life and it includes love of your enemy and forgiveness. Nonviolence had to be tested to show that it works and that it’s not just a philosophy. Dr. King tested nonviolence with his own suffering and love for his people. His passion for his “beloved community” became the brand of his civil rights struggle for which he paid with his own life. As Gandhi said, the only two places of non-action for such fighters are prison or death. Mandela went to prison, suffered longer, and tested his resolve to forgive his “enemy”. We can only imagine the blood bath had he not done that.

Mandela the peace maker: Gandhi, Dr. King and Mandela, together, constitute a shining trinity of peace and their contributions, respectively, nonviolence, love, and forgiveness provide a prescription for peace if the humankind needs to survive. Truth and Reconciliation will remain one of Mandela’s brilliant and innovative contributions for healing wounds between warring people, warring nations. Gandhi, King and Mandela, all tested nonviolence in their own way and they all came out with the same result: The path of peace and liberation goes through love, suffering, and forgiveness.
Mandela the spiritual father: We go through life with two sets of parents. Our own parents, of course, who brought us in this world, whom we owe our life, body and brain, whom we remain eternally grateful for their sacrifice and care to help us grow and to teach us how to live.

There are another set of parents, for a lack of a better word we can call them our “spiritual parents”. These are men and women whom the whole humanity owes gratitude because it is their discoveries, contributions and, teachings that we like fill our brain with, they make us human- kinder, gentler, and humane.

We call ourselves human because we made a pledge with destiny that we will become humane. It has been a long and arduous journey. With his love, suffering and forgiveness, Mandela has brought us further on the path and has warned we still have a long way to go.

Gandhi-King-Mandela, or Mohan, Martin and Matiba, are angels of peace. We are their descendents, the keepers of their dreams.

Rama Singh, is a professor in the department of biology, and member, Coordinating Council, Centre for Peace Studies, McMaster University.

This appreciation was originally published in the Hamilton Spectator in Canada.

Día de Nelson Mandela: ONU invita a la población a hacer la diferencia en sus comunidades

. PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA.

Un artículo del Centro de Noticias ONU

El Día Internacional de Nelson Mandela es una exhortación para que todas las personas del mundo hagan la diferencia en sus comunidades mediante actividades de servicio.

mandela
Foto Naciones Unidas/Pernaca Sudhakaran

Este año, el lema de la jornada que cada 18 de julio recuerda al líder sudafricano es “Emprende una acción, inspira un cambio”, y se refiere a la importancia de que la sociedad trabaje unida para construir un mundo pacífico, sostenible y equitativo.

El Secretario General de la ONU recordó que Nelson Mandela dedicó 67 años de su vida a luchar por los derechos humanos y la justicia social.

Por ello, Ban Ki-moon invitó a la gente a realizar una actividad de servicio a la comunidad durante 67 minutos para celebrar la fecha del nacimiento de Mandela, llamado cariñosamente Madiba.

Ban aseveró que Mandela encarnó los más altos valores de las Naciones Unidas y llamó a rendirle tributo en este 70º aniversario de la ONU.

Nelson Mandela fue un líder que actuó con una fe inequívoca en la justicia y la igualdad humana. Nosotros podemos tomar su ejemplo como inspiración para trabajar continuamente en la construcción de un mundo mejor para todos, apuntó Ban.

Este año la ONU entrega por primera vez el Premio Nelson Rolihlahla Mandela, que reconocerá cada lustro a un hombre y una mujer por su dedicación, trabajo y compasión comunitarios.

(clickear aquí para la version inglês o aquí para la version francês )

Latest Discussion

What is the legacy of Nelson Mandela for us today?

Comment by Rama Singh posted: Dec. 31 2013

ON MANDELA’S LASTING LEGACY

In death, as in his life, Nelson Mandela has captured the imagination of the world. Mourning mixed with celebration has electrified crowds all over South Africa and elsewhere. His life’s achievements and his lasting legacy are the topics of discussions. He has been described as a great warrior, a great liberator, the last giant in the fight against colonialism, forgiver, peace maker, and in many other ways.

All this week, Mandela’s lasting legacy has been on my mind. We tend to capture the legacies of great men and women in a word or two. A scientist becomes famous for an important discovery, a writer for a famous book, a musician for a great composition, and so on.

People like Mandela fall in a different category. He is in the category of Mahatma Gandhi and Dr. Martin Luther King. They are known for their fights on behalf of oppressed people; they are known for their personal sacrifice, and for their moral authority. If we are to look for words to associate with these men, it will be “nonviolence” for Gandhi and “love’ (beloved community) for Dr. King. But what about Mandela- how will we describe his legacy?

What were the important transformational changes in Mandela’s life?

Mandela the great warrior: Mandela has been described as a great warrior, but he was no ordinary warrior. All legendary warriors, mythical or real, are known for the destruction of their enemies. Mandela was different; he did not seek annihilation of his enemy; he transformed his enemy into his collaborator.

Mandela the resilient sufferer: I know of no other person living or dead who was forcefully made to disappear from the scene for this long (incarceration for 27 years) and who survived and made his triumphatic return. Gandhi said there is no other way to show your love for the suffering of your loved ones than to suffer yourself with them, for them. Mandela suffered the longest because his work was the hardest.

Mandela the great liberator: Colonial rulers are known for their ruthless treatment and putting down of citizens but South Africa was not a typical colonial rule. The rulers were Afrikaners, citizen of South Africa. I know of no other country, outside of the United States, where the blacks were so harshly treated by another segment of their own country. It was a true liberation. Thanks to Mandela, sad songs of seeking freedom through death were transformed into freedom in life.
Mandela the magnanimous forgiver: Gandhi’s nonviolence is a complete philosophy of life and it includes love of your enemy and forgiveness. Nonviolence had to be tested to show that it works and that it’s not just a philosophy. Dr. King tested nonviolence with his own suffering and love for his people. His passion for his “beloved community” became the brand of his civil rights struggle for which he paid with his own life. As Gandhi said, the only two places of non-action for such fighters are prison or death. Mandela went to prison, suffered longer, and tested his resolve to forgive his “enemy”. We can only imagine the blood bath had he not done that.

Mandela the peace maker: Gandhi, Dr. King and Mandela, together, constitute a shining trinity of peace and their contributions, respectively, nonviolence, love, and forgiveness provide a prescription for peace if the humankind needs to survive. Truth and Reconciliation will remain one of Mandela’s brilliant and innovative contributions for healing wounds between warring people, warring nations. Gandhi, King and Mandela, all tested nonviolence in their own way and they all came out with the same result: The path of peace and liberation goes through love, suffering, and forgiveness.
Mandela the spiritual father: We go through life with two sets of parents. Our own parents, of course, who brought us in this world, whom we owe our life, body and brain, whom we remain eternally grateful for their sacrifice and care to help us grow and to teach us how to live.

There are another set of parents, for a lack of a better word we can call them our “spiritual parents”. These are men and women whom the whole humanity owes gratitude because it is their discoveries, contributions and, teachings that we like fill our brain with, they make us human- kinder, gentler, and humane.

We call ourselves human because we made a pledge with destiny that we will become humane. It has been a long and arduous journey. With his love, suffering and forgiveness, Mandela has brought us further on the path and has warned we still have a long way to go.

Gandhi-King-Mandela, or Mohan, Martin and Matiba, are angels of peace. We are their descendents, the keepers of their dreams.

Rama Singh, is a professor in the department of biology, and member, Coordinating Council, Centre for Peace Studies, McMaster University.

This appreciation was originally published in the Hamilton Spectator in Canada.

Cultura de paz: una utopía posible – una reseña del libro

. . EDUCACIÓN PARA LA PAZ . .

Una reseña del libro de Ericka Montaño Garfias en La Jornada

Cuando la violencia se ha convertido en palabra cotidiana y el vocablo paz es apenas referencia aislada en los medios de comunicación, si la guerra es un invento del ser humano, entonces éste es capaz de inventar una cultura de paz. Así lo plantea el ensayista estadunidense David Adams en su libro Cultura de paz: una utopía posible, publicado en castellano por el sello Herder.

review
De izquierda a derecha: Roberto Emmanuele Mercadillo, Instituto de Neurobiologia, Universidad Nacional Autonoma de México, el editor y traductor del libro; Norman Bardavid, director de cultura y artes de Comnapaz México; David Adams, el autor del libro, Arturo Vallejo Casanova, Rector de la Universidad Tecnologica de Corregidora; y Hiram Valdez, Presidente de la Comision Nacional de Cultura de Paz de Comnapaz México

Cultura de paz: una utopía posible reúne en un sólo tomo Historia de la cultura de guerra (The History of the Culture of War), La paz mundial a través de la democracia participativa: una estrategia para el movimiento global por una cultura de paz (World Peace through the Town hall: A Strategy for the Global Movement for a Culture of Peace) y He visto la tierra prometida: una novela utópica (I Have Seen the Promised land: A Utopian Novella).

Adams, también neurobiólogo, es coordinador de Culture of Peace News Network (cpnn-world.org) y participó en varios programas y declaraciones de la Organización de Naciones Unidas para la Ciencia, la Educación y la Cultura (Unesco) en favor de la paz, como el Programa de la Cultura de la Paz, la Declaración y Programa de Acción sobre una Cultura de Paz y de la iniciativa de la Unidad para el Año Internacional de la Cultura de la Paz que dio como resultado el Manifiesto 2000, en el que los firmantes (75 millones de personas en el mundo) se comprometieron a construir una cultura de paz en la vida diaria.

El planteamiento de David Adams es que si el ser humano inventó la guerra y la violencia, entonces es capaz de inventar y construir la paz.

“En esta obra se percibe y se persigue una idea básica: si la guerra y la violencia son una creación, una construcción cerebral y cultural, el hombre puede inventar y construir la paz de manera racional e intencional, aunque para ello sea necesario que la mente interiorice el concepto del ‘otro’ basado en igualdad y aprendido por cotidianidad. El adagio ‘el otro soy yo’ debería ser la meta de la enseñanza familiar, escolar e institucional para reforzar el derecho humano a la paz, propuesto por la Unesco en 1997”, escribió el editor y traductor de la obra Roberto Emmanuele Mercadillo en la nota inicial.

Más allá de que la responsabilidad sea individual, Adams también hace un análisis del papel de la sociedad civil en la creación y práctica de esa cultura a través de movimientos por la paz y el desarme, ecologistas, de derechos humanos, por la democracia, de la mujer, y por el libre flujo de información, además de plantear el papel de los gobiernos locales.

Aunque su novela habla de una utopía, Adams no es un soñador, o al menos no totalmente: sabe que la cultura de paz debe ser entendida como un proceso, en el sentido original de la palabra cultura. No vamos a despertar una mañana y descubrir que hemos construido una cultura de paz.

(Nota del editor: El libro está disponible de Herder México , de Herder España y de Amazon España.)

( Clickear aquí para una traducción inglês.)

Question for this article:

Conférence internationale sur la paix : Médina Baye Peace initiative lance « une contribution de l’islam à l’avènement d’une paix mondiale durable »

. TOLÉRANCE & SOLIDARITÉ .

Un article de Dakar Actu

Les 28 et 29 juillet prochains, 500 délégués sont attendus à Dakar, dont de hautes personnalités venus du monde entier, pour un dialogue multiconfessionnel et multiculturel sur la paix.

dakar
Photo de Dakar Actu

Cette conférence internationale sur « islam et paix » a pour but de promouvoir les échanges autour de la problématique de la paix dans le monde, de favoriser les contributions des femmes et des jeunes dans l’avènement d’une paix mondiale durable. Elle vise aussi à identifier et à définir les rôles et responsabilités autour de la promotion de la culture de paix, de partager les bonnes pratiques du vivre ensemble.

L’événement est organisé par le programme initiative de Médina Baye pour la paix, à travers l’association Jamhiyatu Ansaarud-Din du Sénégal (JAD), avec le soutien actif du gouvernement sénégalais. Son Excellence Macky Sall, président de la République du Sénégal, est d’ailleurs le parrain officiel de la conférence et sera présent à l’événement.

Parmi les 500 participants attendus à Dakar figurent des savants et érudits de différentes religions, des universitaires et chercheurs, des chefs religieux et guides spirituels, des décideurs politiques et des membres de la société civile, des représentants d’organisations internationales, des militants et acteurs de la paix dans le monde ainsi que des partenaires techniques et financiers.

« Il s’agit d’une formidable occasion de rétablir l’image de l’Islam qui est sans rapport avec celle qu’en donnent certains de ses soi-disant adeptes, ni avec celle que ses détracteurs s’évertuent à en donner », a tenu à souligner Cheikh Mouhamd Khouraichi Ibrahim Niass, président de la section sénégalaise de la JamhiyatuAnsaarud-Din.

« Grace à la réflexion, au dialogue entre les communautés, nous allons démontrer comment l’Islam peut contribuer à l’avènement d’une paix mondiale durable », a-t-il ajouté.

(Cliquez ici pour un article en anglais concernant ce sujet.)

Question related to this article:

 

How can different faiths work together for understanding and harmony?

This discussion question applies to the following articles:

Creating Harmony in the World: Working through Our Faiths in Dialogue
Alternate Focus: Balance in Media Coverage in Middle East
The Parliament of the World's Religions (Barcelona, Spain)
Asian Religious Leaders Urge Religions To Teach Peace
Living Faiths Together – Tool kit on inter-religious dialogue in youth work
Sharing the right to Jerusalem's past
The Doha Pre-Forum of the United Nations Alliance of Civilizations
Peace For Childrens in Primary Schools in Iraq
Dialogue in Nigeria — a new DVD teaching-tool for peacemakers
4th Annual International Conference on Religion, Conflict and Peace
First Religious Youth Service Project in Pakistan
World Harmony Day at the UN Highlights the Culture of Peace
Report of Diversity Talk Series 2013, in Lahore, Pakistan
Journée d'étude à Tunis: Religions et cultures au service de la paix
Workshop in Tunis: Religions and cultures in the service of peace
Out of the spotlight, Moroccan Islamic party promotes interfaith dialogue
Muslim and Christian youth come together in Mombasa, Kenya
Greeting of Peace from United Social Welfare Society, Pakistan
Interfaith Cultural Study Tour to Nepal: Pakistan Youth Explore the Mysteries of Nepal
One Nation, One Blood (Pakistan)
Teachings of Peace
Overview of the Book, Paganism an Introduction to Earth-Centered Religions
La líder de un movimiento interreligioso Dena Merriam recibirá el 31 Niwano Peace Prize
Dena Merriam, Founder and leader of The Global Peace Initiative of Women to receive the Niwano Peace Prize
Pakistan: Scholars adopt charter of peace, support coexistence
Lebanese dialogue aims to strengthen unity in diversity
Un an du “Projet Revalorisation du Vivre Ensemble – REVE” au Niger
A Year-long Project for “Living Together – REVE” in Niger

Carta abierta de las ONG a los Estados miembros de la Asamblea General sobre el proceso de selección del Secretario General de la ONU

. FREE FLOW OF INFORMATION .. LIBERTAD DE INFORMACIÓN .

Una carta por las 13 ONG que aparece a la derecha

Para: los Jefes de Estado y de Gobierno, los Ministros de Asuntos Exteriores, los representantes permanentes ante las Naciones Unidas

Excelencias:

La elección del nuevo Secretario General en 2016 será una de las decisiones más importantes que la Asamblea General tomará en los próximos diez años. El nuevo Secretario General tendrá que ocuparse de un mundo enfrentado sumido en guerras civiles cada vez más peligrosas, desastres humanitarios y medioambientales, terrorismo, regresión, crisis económica y financiera y desigualdad. La necesidad de una dirección global y una cooperación internacional es más imperiosa de lo que nunca ha sido. Es primordial que el candidato mejor capacitado sea elegido para convertirse en Secretario General de las Naciones Unidas.

1for7

La importancia y complejidad del puesto ha cambiado radicalmente durante los últimos 69 años, como también han cambiado las amenazas y dificultades a las que se enfrenta todo el sistema de las Naciones Unidas. La dirección de los sucesivos Secretarios Generales de la ONU (en calidad de directores generales, diplomáticos, mediadores y representantes de los objetivos y principios de la ONU) ha sido fundamental para perfilar la labor de las Naciones Unidas. Han sido portavoces internacionales públicos y críticos sobre cuestiones clave de paz y seguridad, desarrollo y derechos humanos.

El procedimiento que la Asamblea General adoptó en 1946 para elegir al Secretario General de la ONU está muy anticuado y no es compatible con la selección del mejor candidato posible. Está muy lejos de los modernos procesos de contratación de cargos internacionales de alto nivel y de los propios principios e ideales de la ONU. Por ejemplo, hacemos hincapié en el hecho de que ninguna mujer ha sido elegida para convertirse en Secretaria General de la ONU y muy pocas han sido consideradas seriamente para ocupar dicho puesto.

Durante los últimos veinte años, muchas organizaciones internacionales, como la ONU, han llevado a cabo mejoras y reformas de los mecanismos procesales para fomentar la transparencia y responsabilidad en las designaciones de altos funcionarios. Es imprescindible que el proceso de selección del próximo Secretario General se modifique para cumplir los altos principios por los que han abogado de forma insistente la Asamblea General de la ONU, los expertos de la ONU y la sociedad civil. Un proceso de selección más abierto e inclusivo en el que participaran todos los Estados miembros de las Naciones Unidas ayudaría también a revitalizar a la ONU y a reforzar su autoridad global.

Un grupo de organizaciones de la sociedad civil fuertemente comprometidas a defender la Carta de las Naciones Unidas y sus valores ha acordado una serie de principios y realizado propuestas que forman la base de una reforma urgente y factible. Las propuestas son realistas y no es necesario modificar la Carta de las Naciones Unidas. Muchas ya han sido respaldadas por gran parte de los Estados miembros de la ONU.

Consisten, entre otras, en la publicación de unos criterios de selección formales, una nominación de candidatos y un calendario claro del proceso de selección que permita una evaluación adecuada de los candidatos, como la presentación de un listado oficial de candidatos y la presentación de declaraciones sobre el proyecto del candidato.

Creemos que todos los Estados miembros de la Asamblea General pueden y deben desempeñar un papel más destacado y significativo en el proceso de designación.

Por ejemplo, la Asamblea General debería celebrar sesiones abiertas que permitan a los Estados miembros y, según los procedimientos de la Asamblea General, a otras partes interesadas relevantes, reunirse con los nominados y evaluar sus candidaturas. La Asamblea debería pedirles a los candidatos que no hicieran promesas sobre la designación específica de altos funcionarios antes de la decisión de la Asamblea sobre la designación del Secretario General.

Además, se le podría pedir al Consejo de Seguridad que presentara o recomendara a más de un candidato a la Asamblea General. Otra recomendación es que el mandato sea un periodo único y no renovable de siete años, lo que ayudaría al Secretario General a plantearse un programa a más largo plazo sin la interrupción de la campaña de reelección.

(El artículo continúa en el lado derecho de la página)

( Clickear aquí para la version inglês o aquí para la version francês)

Question(s) related to this article:

What is the United Nations doing for a culture of peace?

(Artículo continúa desde la parte izquierda de la página)

Las propuestas se describen en la plataforma política adjunta para una nueva campaña global: 1 para 7 mil millones – Encontrar al mejor dirigente de la ONU. Todos los días, más organizaciones e individuos de todo el mundo se suman a esta campaña. Pueden consultar los documentos de referencia relevantes en www.1for7billion.org/background

Dado que las Naciones Unidas está preparando la celebración del 70 aniversario de la Carta de las Naciones Unidas el año que viene, esperamos que los Estados miembros de la Asamblea General y del Consejo de Seguridad aprovechen esta oportunidad histórica para iniciar una serie clave de reformas básicas, como las que se describen en nuestro documento, a fin de garantizar que el candidato mejor capacitado sea elegido para convertirse en el próximo Secretario General de las Naciones Unidas.

Atentamente,*

Dinah Musindarwezo, Executive Director
African Women’s Development and Communication Network (FEMNET)

Salil Shetty, Secretary-General
Amnesty International

Ricken Patel, Executive Director
Avaaz

Danny Sriskandarajah, Secretary-General
CIVICUS: World Alliance for Citizen Participation

Yasmeen Hassan, Global Director
Equality Now

Evelyn Balais-Serrano, Executive Director
Forum-Asia

Jens Martens, Director Global Policy Forum

John Burroughs, Executive Director
Lawyers Committee on Nuclear Policy

Roberto Bissio, Coordinator
Social Watch

Chee Yoke Ling, Director
Third World Network

Eleanor Blomstrom, Program Director
Women’s Environment and Development Organization (WEDO)

William R. Pace, Executive Director
World Federalist Movement-Institute for Global Policy

Bonian Golmohammadi, Secretary-General
World Federation of United Nations Associations

*Desde el inicio de la campaña 1 para 7 mil millones en noviembre de 2014, decenas de ONG de todo el mundo se han unido en nuestra petición de un proceso de selección más abierto e inclusivo. Visite www.1for7billion.org/ngo-supporters si quiere ver un listado completo y actualizado de nuestros apoyos.

Lettre ouverte des ONG aux États membres de l’Assemblée générale sur le processus de sélection du Secrétaire général de l’ONU

LIBERTÉ DE L’INFORMATION

Une lettre par les 13 ONGs listés à droite

À l’attention de : Chefs d’État et de gouvernement, Ministres des Affaires étrangères, Représentants permanents auprès des Nations Unies

Excellences,

La sélection du nouveau Secrétaire général en 2016 sera l’une des décisions les plus importantes que l’Assemblée générale fera au cours des dix prochaines années. Le nouveau Secrétaire général devra aborder un monde confronté à des guerres civiles de plus en plus dangereuses, des catastrophes humanitaires et environnementales, au terrorisme, au développement régressif, aux crises économiques et financières, et à l’inégalité. Un leadership mondial et une coopération internationale sont plus que jamais nécessaires. Il est essentiel que le candidat le plus qualifié soit choisi pour devenir Secrétaire général de l’ONU.

1for7

L’importance et la complexité du poste a radicalement changé au cours des 69 dernières années, tout comme les menaces et les défis auxquels l’ensemble du système des Nations Unies est confronté. Le leadership des Secrétaires généraux de l’ONU successifs – en tant que principaux officiers administratifs, diplomates, médiateurs et représentants des buts et principes des Nations Unies – a joué un rôle fondamental dans l’élaboration du travail des Nations Unies. Ils ont fourni une opinion publique essentielle sur la scène internationale sur les questions clés de paix et de sécurité, du développement et des droits humains.

La procédure que l’Assemblée générale a adoptée en 1946 pour sélectionner le Secrétaire général de l’ONU est clairement obsolète et n’est pas adaptée pour la sélection du meilleur candidat possible. Elle satisfait de loin aux pratiques de recrutement modernes pour les nominations de hauts fonctionnaires internationaux, ainsi qu’aux propres normes et idéaux de l’ONU. Nous soulignons, par exemple, qu’aucune femme n’a jamais été sélectionnée pour devenir Secrétaire général de l’ONU, et que très peu ont été sérieusement prises en considération.

Au cours des vingt dernières années, de nombreuses organisations internationales, dont l’ONU, ont apporté d’importantes améliorations et de réformes aux mécanismes de procédure afin d’améliorer la transparence et la responsabilité des nominations de haut niveau. Il est impératif que le processus de sélection du prochain Secrétaire général de l’ONU soit modifié afin qu’il réponde aux normes plus élevées en faveur desquelles l’Assemblée générale de l’ONU, les experts de l’ONU et la société civile ont constamment plaidé. Un processus de sélection plus ouvert et inclusif engageant tous les États membres de l’ONU permettra également de revitaliser les Nations Unies et de renforcer son autorité dans le monde.

Un groupe d’organisations de la société civile fortement engagées à respecter la Charte de l’ONU et ses valeurs ont convenu d’un ensemble de principes et fait des propositions qui constituent la base d’une réforme urgente et crédible. Les propositions sont réalistes et ne nécessitent pas de modification de la Charte de l’ONU. Un grand nombre d’entre elles ont déjà été approuvées par une majorité d’États membres de l’ONU.

Ils comprennent la publication de critères de sélection formels, un appel à candidatures et un calendrier précis pour le processus de sélection qui permet une évaluation adéquate des candidats, y compris à travers une liste officielle des candidats et la présentation des déclarations de vision des candidats.

Nous estimons que tous les États membres de l’Assemblée générale peuvent et doivent jouer un rôle plus important et significatif dans le processus de nomination. Par exemple, l’Assemblée générale devrait tenir des sessions ouvertes qui permettent aux États membres et, conformément aux procédures de l’Assemblée générale, aux autres parties prenantes, de répondre aux candidats et d’examiner leur candidature. L’Assemblée devrait demander que les candidats s’engagent à ne pas faire de promesses en matière de nomination spécifique de haut niveau en amont de la décision de l’Assemblée sur la nomination du Secrétaire général.

En outre, le Conseil de sécurité pourrait être invité à présenter ou à recommander plus d’un candidat à l’Assemblée générale. Une autre recommandation est qu’il ne soit prévu qu’un seul mandat d’une période de sept ans non renouvelable, ce qui aiderait le Secrétaire général à poursuivre un programme à long terme sans avoir à être interrompu par une campagne de réélection.

(Voir suite sur colonne de droite. . . )

(Cliquez ici pour la version anglaise de cet article ou ici pour la version espagnole.)

Question(s) related to this article:

What is the United Nations doing for a culture of peace?

(. . . suite)

Les propositions sont décrites dans la plate-forme politique ci-jointe pour une nouvelle campagne mondiale : 1 pour 7 milliards – Trouver le meilleur dirigeant de l’ONU. Un plus grand nombre d’organisations et d’individus du monde entier rejoignent cette campagne jour après jour. Les documents d’information pertinents sont disponibles sur www.1for7billion.org/background.

Alors que les Nations Unies s’apprêtent à célébrer le 70e anniversaire de la Charte de l’ONU l’année prochaine, nous espérons que les États membres de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité saisiront cette occasion historique de lancer un ensemble clé de réformes fondamentales, y compris celles qui sont décrites dans notre document, afin de veiller à ce que le candidat le plus qualifié soit choisi afin de devenir le prochain Secrétaire général des Nations Unies.

Veuillez agréer, vos Excellences, nos sentiments respectueux, *

Dinah Musindarwezo, Directrice exécutive
African Women’s Development and Communication Network (FEMNET)

Salil Shetty, Secrétaire général
Amnesty International

Ricken Patel, Directeur exécutif
Avaaz

Danny Sriskandarajah, Secrétaire général
CIVICUS: World Alliance for Citizen Participation

Yasmeen Hassan, Directrice internationale
Equality Now

Evelyn Balais-Serrano, Directrice exécutive
Forum-Asia

Jens Martens, Directeur
Global Policy Forum

John Burroughs, Directeur exécutif
Lawyers Committee on Nuclear Policy

Roberto Bissio, Coordinateur
Social Watch

Chee Yoke Ling, Directrice
Third World Network

Eleanor Blomstrom, Directrice de programme
Women’s Environment and Development Organization (WEDO)
William R. Pace, Directeur exécutif
World Federalist Movement-Institute for Global Policy

Bonian Golmohammadi, Secrétaire général
World Federation of United Nations Associations

* Depuis le lancement de la campagne « 1 pour 7 milliards » en novembre 2014, des dizaines d’ONG du monde entier ont rejoint notre appel à un processus de sélection plus ouvert et inclusif. Rendez-vous sur 1for7billion.org/ngo-supporters/ pour une liste complète et à jour de ceux qui nous soutiennent.

Boletín español, el 01 de julio 2015

. . . RECHAZAR EL TERRORISMO SIN VIOLENCIA

Los medios de comunicación comerciales, siempre buscando noticias sobre violencia, se complacen en contarnos sobre todas las atrocidades cometidas por Boko Haram y el estado islámico, los sucesores de Al Qaeda. Ellos nos dan la impresión de que hemos encontrado un nuevo enemigo y que no tenemos más remedio que ir a la guerra. Ellos no dejan mucho espacio para planteamientos no militares contra el terrorismo. Sin embargo, existen estos planteamientos, como vemos este mes en los artículos de CPNN.

Vamos a empezar con la estrategia general de “un programa cultural para rechazar el extremismo y la violencia” por Ismail Serageldin. Su propuesta no es ni abstracta ni académica. Se basa en la amplia experiencia de la organización que dirige, la Biblioteca de Alejandría, Egipto. Él trae “semillas de esperanza” para una transformación cultural en el mundo árabe como una alternativa al fanatismo y el “terrorismo bárbaro desplegada por las fuerzas del llamado “Estado islámico” en Irak y Siria.”

Según los “Elders:, “Tal vez hay otra opción que la opción militar, pero al mismo tiempo, siempre es importante entender como las operaciones militares no pueden tener éxito en el tratamiento de este tipo de fuerzas si no hay una estrategia social y política en áreas donde estas fuerzas no están activos.” Si la fuerza debe ser utilizada, debe ser “después que haber construido un programa político y social sobre qué hacer a continuación”.

Los “Elders” son claros cuando piden planteamientos no violentos. Las intervenciones militares en el pasado han sido una de las principales causas del aumento del terrorismo en los últimos años. Escuche lo que dijo Mary Robinson, “Creo que muchos problemas se derivan de una guerra increíblemente perjudicial e injustificada en Irak. La humillo, causó “shock and awe” en todos los niveles. Creo que esta guerra rompió una confianza que va a ser muy difícil de restaurar”.

Serageldin es muy claro que una de las principales causas del éxito del Estado terrorista islámico está “la invasión estadounidense de Irak en 2003 y la posterior mala gestión de líneas étnicas y religiosas en esta sociedad. Esto ha dado un golpe traumático en la confianza de los musulmanes. Para ellos, esa invasión directa por Estados Unidos y sus aliados en Irak y Afganistán, fue como una humillación. Además, el asesinato sistemático de civiles utilizando drones en Pakistán, Afganistán, Yemen y otros lugares sirven para inflamar los sentimientos de victimización que alimentaron la “desesperación emocional” de la mayorías de musulmanes”.

De acuerdo con el especialista en construcción de la paz ‘John Paul Lederach, lo que se necesita es una política no violenta de compromiso con las personas de los grupos que se han llamados como terroristas, en lugar de una política de aislamiento. Por ejemplo, tenemos que colaborar con las mujeres de Siria, en el corazón de los países aterrorizados. Ellos están promoviendo actualmente una cultura de paz a través de sus compromisos. Luchan para detener el matrimonio infantil, para unir a los refugiados y las comunidades de acogida, escucha a los grupos marginados, reabrir las escuelas, ayudar a las familias sobrevivir, reformar los tribunales corruptos, inmunizar a los niños, desarmar los jóvenes y movilizar un movimiento para paz. Un excelente ejemplo de este compromiso es la obra de Nonviolent Peaceforce, tal como se describe en el artículo: “actualización urgente de Sudán del Sur.”

El ministro de Relaciones Exteriores de Sierra Leona habla con sabiduría en su discurso ante la Organización de la Conferencia Islámica. Frente a una “creciente ola de insurgencias terroristas y disturbios en todo el mundo, debemos esforzarnos por tomar iniciativas que van desde la acción humanitaria a la mediación con el fin de apoyar y promover la cultura de paz y la tolerancia entre los pueblos”.

En Benin, la conferencia para una “movilización general contra el peligro de Boko Haram” concluyó que “La fuerza militar no será suficiente para aniquilar el movimiento yihadista. Lo necesario es restablecer la confianza entre los fieles de diferentes religiones para que juntos construyan una mejor sociedad y de paz movilizando el entusiasmo en torno a las tareas concretas reconocido por todos”.

      

TOLERANCIA Y SOLIDARIDAD

benin

Benin encourages interfaith dialogue against Boko Haram

IGUALDAD HOMBRES/MUJERES



Argentina: Multitudinaria marcha contra la violencia de género frente al Congreso

DESARME Y SEGURIDAD



Gaza prepares to welcome Freedom Flotilla III

DERECHOS HUMANOS



Truth and Reconciliation Commission: Canada guilty of cultural genocide against Indigenous peoples

LIBERTAD DE INFORMACIÓN



FARC-EP y Gobierno colombiano crearán Comisión de la Verdad

PARTICIPACIÓN DEMOCRATICA



The Challenge: A Cultural Program to Reject Extremism and Violence

DESAROLLO SUSTENTABLE



FAO: La cifra de víctimas del hambre baja de los 800 millones: el próximo objetivo es la erradicación

EDUCACIÓN PARA PAZ



Colombia: La cátedra de la paz