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Les Forces Nucléaires Diminuent, mais leur Modernisation se Poursuit, selon le SIPRI
un articulo por Stockholm International Peace Research Institute
Le Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) publie
aujourd'hui [16 juin] ses données annuelles sur les forces
nucléaires, qui dressent les
tendances et les développements actuels des arsenaux nucléaires
mondiaux. Les données
montrent que, bien que le nombre total d'armes nucléaires dans le
monde continue de
baisser, aucun des États dotés d'armes nucléaires n'est prêt à
abandonner ses arsenaux
dans un avenir prévisible.
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Début 2014, neuf États — États-Unis, Russie, Royaume-Uni, France,
Chine, Inde, Pakistan,
Israël et Corée du Nord — possédaient près de 4 000 armes
nucléaires opérationnelles. Si
toutes les ogives nucléaires étaient comptabilisées, l’ensemble de
ces États posséderaient un
total d'environ 16 300 armes nucléaires (voir tableau 1), contre 17
270 début 2013.
Au cours des cinq dernières années, il y a eu une baisse constante
du nombre total d'ogives
nucléaires dans le monde (voir tableau 2). La diminution est
principalement imputable à la
Russie et aux États-Unis — qui, à eux deux, détiennent encore plus
de 93 % des armes
nucléaires dans le monde — en dépit de la réduction de leurs stocks
d'armes nucléaires
stratégiques conformément au nouveau Traité sur les mesures pour
la poursuite de la
réduction et la limitation des armes stratégiques offensives (New
START).
Dans le même temps, les cinq États dotés d'armes nucléaires
légalement reconnus — Chine,
France, Russie, Royaume-Uni et États-Unis — ont, soit déployé de
nouveaux vecteurs
d'armes nucléaires, soit annoncé des programmes pour le faire.
L’Inde et le Pakistan
continuent de développer de nouveaux systèmes capables
d'emporter des armes nucléaires
et développent leurs capacités de production de matières fissiles à
des fins militaires.
Il commence à y avoir un consensus de la communauté des experts
selon lequel la Corée du
Nord a produit un petit nombre d'armes nucléaires, à la différence
des dispositifs explosifs
nucléaires rudimentaires.
(Cliquez ici pour une version anglaise de cet article or here pour une version en espagjol.)
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DISCUSSION
Pregunta(s) relacionada(s) al artículo :
Can we abolish all nuclear weapons?,
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Comentario más reciente:
'THE WORLD IS OVER-ARMED AND PEACE IS UNDER-FUNDED'
30 August 2012 — The following opinion piece by Secretary-General BAN Ki-moon has appeared in leading newspapers in Argentina, Bangladesh, Burundi, China, Germany, India, Iran, Italy, Japan, Lebanon, Malaysia, The Philippines, Republic of Korea, Russia, Serbia, Turkey, Ukraine and European weekly publications and has been translated into 10 languages.
Last month, competing interests prevented agreement on a much-needed treaty that would have reduced the appalling human cost of the poorly regulated international arms trade. Meanwhile, nuclear disarmament efforts remain stalled, despite strong and growing global popular sentiment in support of this cause.
The failure of these negotiations and this month's anniversaries of the atomic bombings at Hiroshima and Nagasaki provide a good opportunity to explore what has gone wrong, why disarmament and arms control have proven so difficult to achieve, and how the world community can get back on track towards these vitally important goals.
Many defence establishments now recognize that security means far more than protecting borders. Grave security concerns can arise as a result of demographic trends, chronic poverty, economic inequality, environmental degradation, pandemic diseases, organized crime, repressive governance and other developments no state can control alone. Arms can't address such concerns.
Yet there has been a troubling lag between recognizing these new security challenges, and launching new policies to address them. National budget priorities still tend to reflect the old paradigms. Massive military spending and new investments in modernizing nuclear weapons have left the world over-armed -- and peace under-funded.
Last year, global military spending reportedly exceeded $1.7 trillion – more than $4.6 billion a day, which alone is almost twice the UN's budget for an entire year. This largesse includes billions more for modernizing nuclear arsenals decades into the future.
This level of military spending is hard to explain in a post-Cold War world and amidst a global financial crisis. Economists would call this an "opportunity cost". . ... continuación.
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