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Opérations de paix et gestion des conflits
un articulo por SIPRI Yearbook 2013 (extrait)

L’année 2012 a connu au total 53 opérations de paix, une de plus qu’en 2011, le 3e score le plus bas pour la période 2003-2012. Le personnel engagé dans les opérations multilatérales dans le monde a diminué de plus de 10% en 2012 (28 487 personnes de moins pour un total de 233 642), tandis que la légère réduction, depuis 2011, des effectifs déployés s’est accélérée. Cette forte baisse était due au retrait des troupes de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) en Afghanistan. Toutefois, elle survenait après environ une décennie d’expansion rapide, et le total des déploiements demeurait le 3e plus élevé depuis 2003.



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En dehors de la FIAS, les déploiements ont augmenté de 847 personnes. Il s’agit de la première augmentation de personnel non-FIAS depuis 2008. La légère augmentation du nombre d’opérations entre 2011 et 2012 suggère que la tendance, à la baisse depuis 2009, commence peut- être à se stabiliser.

L’austérité a incité certains États à plus de prudence face aux dépenses en opérations de paix et à augmenter les contraintes budgétaires sur les missions en 2012. Le Conseil de sécurité des Nations unies a imposé de plus en plus de critères et d’indicateurs pour évaluer l’efficacité de ses missions et pour décider d’éventuels renouvellements de mandats.

Les doutes sur la capacité et la volonté de protéger les civils (POC) dans les opérations de paix ont été renforcés en 2012 par les échecs perçus des opérations de l’ONU en Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo (RDC) et Soudan du Sud. Cependant, le problème est peut-être davantage lié au côté irréaliste des mandats et des attentes qu’ils suscitent. La communauté internationale s’est également montrée divisée face au coup d’État militaire en Guinée-Bissau, où l’Union africaine (UA), l’Union européenne (UE) et l’ONU ont refusé de reconnaître un gouvernement de transition issu d’un processus controversé de médiation de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Malgré ces doutes, divisions et contraintes budgétaires, rien ne laisse croire que le nombre d’opérations diminuera de manière significative dans un avenir proche, et en effet, le nombre de troupes déployées (hors Afghanistan) est susceptible de croître. L’ampleur de l’effectif total déployé après le retrait de la FIAS et sa répartition dépendront de trois facteurs : l’importance des futures coupes budgétaires en Occident et la mesure dans laquelle elles pourront affecter la capacité militaire et de maintien de la paix, le nombre de soldats finalement déployés au Mali, au Sahel et peut-être en Syrie, et la disposition des pays à mettre en pratique la responsabilité de protéger (R2P) et la protection des civils plutôt que de simplement exprimer leur indignation quant au manque de réactivité .

(Cliquez ici pour une version espagnole de cet article ou ici pour une version anglaise).

DISCUSSION

Pregunta(s) relacionada(s) al artículo :


Can military peacekeeping operations promote a culture of peace?,

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Comentario más reciente: :

The answer this question provided by UNESCO in 1992 was "no."  The culture of peace program at UNESCO was launched as an alternative to peacekeeping operations, because it was considered that soldiers cannot bring a culture of peace.  Is there any reason to think that this has changed in the intervening 20 years?


Este artículo ha sido publicado on line el 5 janvier 2014.