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GLOBAL MOVEMENT FOR A CULTURE OF PEACE

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Lancement du réseau de journalistes pour la paix et la sécurité en Afrique
un article par African Press Organization

Le réseau des journalistes pour la paix et la sécurité en Afrique (NetPeace) a été officiellement lancé le 4 novembre 2011 en marge de l'Atelier journalistique de haut niveau sur l'Architecture africaine de paix et de sécurité (APSA), organisé par la Direction de l'information et de la communication (DIC) et le Département de paix et de sécurité (DPS) de l'Union africaine, en partenariat avec le Réseau francophone de recherche sur les opérations de paix (ROP) de l'Université de Montréal, qui s'est tenu au siège de l'UA, à Addis Abeba, Ethiopie, du 2 au 4 novembre 2011, sous le thème «Promouvoir la culture de la paix à travers les médias».


High Level Media workshop on the African Peace and Security Architecture "Promoting the Culture of Peace through the Media"

L'issue de l'atelier a été marquée par l'adoption d'une déclaration. La soixantaine de participants venus des 15 Etats membres du Conseil de paix et de sécurité de l'UA, les experts en communication, les représentants des organes de l'UA et des Communautés économiques régionales (CER) ont réitéré, à travers cette déclaration, leur «engagement commun à œuvrer à l'enracinement de la culture de la paix en Afrique». Tout en se félicitant de la création du réseau NetPeace, ils se sont engagés à «favoriser la circulation de l'information entre l'Union africaine et les médias, notamment dans le domaine de la paix et de la sécurité» et «à promouvoir les activités du réseau, à favoriser les synergies avec d'autres réseaux de journalistes existant et œuvrant pour la paix et la sécurité sur le continent».

Le réseau NetPeace composé de journalistes spécialistes des questions de paix et de sécurité, du continent et de la Diaspora, a pour objectif principal de promouvoir et d'enraciner la culture de la paix à travers le travail quotidien des journalistes. Après des élections démocratiques et transparentes, douze coordinateurs dont un président, un vice-président et un secrétaire issus des cinq régions de l'UA et de la Diaspora ont été élus. Mme Uduak Amimo, Experte des médias et provenant de la région de l'Est a été élue présidente. M. Vincent Nkeshimana, Directeur de la Radio Isanganiro au Burundi et M. Nicolas Abena, Rédacteur en chef de I-Magazine ont été respectivement élus Vice-président et Secrétaire du réseau NetPeace.

Les coordinateurs régionaux du réseau PeaceNet sont les suivants : M. Jedna Deida (Mauritanie) et M. Ahmed Khalifa (Libye) pour la région Nord, M. El Hadj M Hameye Cissé (Mali) et M. Malcolm Joseph (Liberia) pour la région de l'Ouest, M. Kadar Ali Diraneh (Djibouti) et Mme Uduak Amimo (Kenya) pour la région de l'Est, M. Vincent Nkeshimana (Burundi) et M. Bernardino Ndze Biyoa (Guinée Equatoriale) pour la région Centre, M. Wisdom Mdzungairi (Zimbabwe) et M. Lungi Daweti (Afrique du Sud) pour l'Afrique australe. Les représentants de la Diaspora, la sixième région de l'UA, sont M. Nicolas Abena de I-Magazine et Mme Melissa Chemam de Vox Africa TV.



( Cliquez ici pour une version anglaise)

DISCUSSION

Question(s) liée(s) à cet article:


Free flow of information, How is it important for a culture of peace?

* * * * *

Commentaire le plus récent:

Perhaps the simplest way to illustrate the essential importance of free flow of information for a culture of peace is to discuss the importance of the control of information for the culture of war.

Here are excerpts from an Washington Post investigation two years ago entitled Top Secret America: A hidden world, growing beyond control.  To read the original, click here.

"* Some 1,271 government organizations and 1,931 private companies work on programs related to counterterrorism, homeland security and intelligence in about 10,000 locations across the United States.

* An estimated 854,000 people, nearly 1.5 times as many people as live in Washington, D.C., hold top-secret security clearances.

* In Washington and the surrounding area, 33 building complexes for top-secret intelligence work are under construction or have been built since September 2001. Together they occupy the equivalent of almost three Pentagons or 22 U.S. Capitol buildings - about 17 million square feet of space.

* Many security and intelligence agencies do the same work, creating redundancy and waste. For example, 51 federal organizations and military commands, operating in 15 U.S. cities, track the flow of money to and from terrorist networks.

* Analysts who make sense of documents and conversations obtained by foreign and domestic spying share their judgment by publishing 50,000 intelligence reports each year - a volume so large that many are routinely ignored." . . .

"Every day across the United States, 854,000 civil servants, military personnel and private contractors with top-secret security clearances are scanned into offices protected by electromagnetic locks, retinal cameras and fortified walls that eavesdropping equipment cannot penetrate. . .

Much of the information about this mission is classified. That is the reason it is so difficult to gauge the success and identify the problems of Top Secret America, including whether money is being spent wisely. The U.S. intelligence budget is vast, publicly announced last year as $75 billion, 21/2 times the size it was on Sept. 10, 2001. But the figure doesn't include many military activities or domestic counterterrorism programs."

As we said in the draft Declaration and Programme of Action on a Culture of Peace that we sent from UNESCO to the UN General Assembly in 1998:

"98. It is vital to promote transparency in governance and economic decision-making and to look into the proliferation of secrecy justified in terms of 'national security', 'financial security', and 'economic competitiveness'. The question is to what extent this secrecy is compatible with the access to information necessary for democratic practice and social justice and whether, in some cases, instead of contributing to long-term security, it may conceal information about processes (ecological, financial, military, etc.) which are a potential threat to everyone and which need therefore to be addressed collectively."


Cet article a été mis en ligne le November 12, 2011.