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République Démocratique du Congo: La Fondation de la Paix Mondiale célèbre la Journée internationale de la paix.

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Envoyé à CPNN par John Mukhuta Muhiana

Voici une photo de notre célébration de la Journée internationale de la paix, accompagnée d’extraits du rapport décennal de notre Fondation pour 2010-2020.

La Fondation de la Paix Mondiale est une association sans but lucratif créée et œuvrant en République Démocratique du Congo. Son champ d’activités étant toute la population du monde en général et celle de la RD Congo en particulier. La FPM a pour objectif majeur la restauration de la culture de la Paix   à travers les enseignements ou séminaires qu’elle organise pour ainsi transmettre les messages de la Paix.

La vision sur la création de la Fondation de la Paix   Mondiale fut née en 1999 par Monsieur John Mukhuta Muhiana vivant les événements malheureux et massacreurs en République Démocratique du Congo son pays d’origine, en Afrique son continent et dans le monde entier sa planète terre non seulement sur le plan physique, mais aussi sur le plan spirituel.

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What has happened this year (2020) for the International Day of Peace?

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Notre organisation a continué à la promotion de la culture de la Paix   avec les acteurs de la société civile en respectant les normes du respect de la promotion de la Paix.

En ce qui concern education pour la paix, nous travaillons avec 55 écoles pour promouvoir l’éducation à la Paix en partenariat avec le projet Living Peace International.

En ce qui concern participation démocratique, nous accompagnons les populations afin qu’elles s’approprient les valeurs démocratiques, la tolérance, la non-violence, la participation à la gestion de la chose publique, la transparence et la redevabilité, la solidarité entre les citoyens.

Nous conscientisons les populations au règlement pacifique des conflits, à la cohabitation pacifique, au respect du genre et à la protection des vulnérable (femmes, enfants, vieillards, handicaps).

2010 à 2020 la Fondation a exécuté beaucoup d’activités; nous remercions le gouverneur de la province ainsi que le président de l’assemblée provinciale du Lualaba qui nous accompagne toujours.
Médias utilisés : WANGU RTV, MIKUBA, AMANI, TOP LUALABA, YALISANO, RCL, PALMIER, RTMA, NATURE…

Notre Fondation a organisé beaucoup d’activités : la Journée Internationale de la Paix, la Journée de la Non-violence, la Journée de la mort de Ghandi . . .

Nous avons aussi résolu des conflits coutumiers  et dans les différentes familles.

Afrique centrale: Vidéo conférence pour la Journée internationale de la paix

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Envoyé à CPNN par Jerry Bibang

Dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale de la paix, célébrée cette année sous le thème « Façonner la paix ensemble », la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique centrale (CEEAC), le Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (Unoca) et le Bureau Afrique centrale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), ont organisé, le 21 septembre 2020, une vidéo conférence dédiée aux questions de paix et sécurité.

La rencontre qui a réuni une soixantaine de participants, notamment des experts de l’ONU, de la CEEAC, la Société civile ainsi que des Chercheurs, pendant près de 4h de temps, a permis d’échanger sur plusieurs thèmes parmi lesquels les enjeux des appels à cesser le feu, la diplomatie préventive, l’engagement de la société civile pour la culture de la paix, la responsabilité sociétale des journalistes dans la promotion de la culture de la paix et bien d’autres.

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What has happened this year (2020) for the International Day of Peace?

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Au cours de cette rencontre de haut niveau, en présence du Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONU, Chef de l’UNOCA, du Président de la CEEAC, du Représentant sous-régional de l’UNESCO, le PAYNCOP Gabon a invité les différentes organisations à renforcer les capacités des acteurs locaux dans la sensibilisation, la diplomatie préventive, la médiation et la résolution pacifique des crises et conflits.

Pour Jerry Bibang, son Coordonnateur National, “il convient d’impliquer les jeunes à tous les niveaux du processus de paix, notamment dans la sensibilisation, la prévention, la médiation ainsi que les opérations post-conflits, conformément à la RÉSOLUTION 2250 (Jeunes, paix et sécurité) de l’ONU.”

“Pour que ces derniers puissent participer efficacement, il faudrait d’abord les former, les outiller, renforcer leurs capacités” a-t-il expliqué. “La pandémie actuelle du Covid19 montre suffisamment que les acteurs internationaux ne suffisent plus pour les opérations de paix, car leurs déplacements sont strictement limités à cause de la maladie. Il faut donc impliquer les acteurs locaux, notamment les jeunes qui constituent un dividende démographique stratégique pour la culture de la paix en Afrique,” a-t-il ajouté avant d’inviter les différents acteurs à soutenir les initiatives des jeunes dans le cadre de la promotion de la culture de la paix.

France: Déclaration du collectif national : les marches pour la paix 2020

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Déclaration du collectif national En Marche pour la paix à l’occasion de la Journée internationale de la Paix (21 septembre) et de la Journée de l’ONU pour l’élimination totale des armes nucléaires (26 septembre 2020)

Le samedi 19 septembre « Ensemble pour la Paix et contre le dérèglement climatique, pour la justice sociale et les droits humains, pour le désarmement nucléaire »

La pandémie du Covid-19 a mis en évidence la communauté de destin et d’intérêt de l’immense majorité de l’humanité. Face à des forces prédatrices, portées par la mondialisation néolibérale, cherchant à faire des profits immédiats de toute activité humaine, et à préserver leur mainmise sur le monde à travers une augmentation sans précèdent des dépenses militaires, la mobilisation citoyenne est nécessaire.

En France, cette crise a mis plus particulièrement en lumière l’insuffisance des moyens mis à disposition des services publics de santé, des fractures sociales inadmissibles et une économie incapable d’apporter des solutions rapides et efficaces pour faire face à la pandémie.

L’urgence de nouvelles politiques permettant d’assurer aux populations en France et dans le monde entier une sécurité humaine (physique, sanitaire, économique, écologique et sociale) est partagée par un nombre croissant de personnes et d’organisations. Face à cette pandémie, partout dans le monde, se sont révélés des potentiels de créativité, de solidarité pour faire face, mais aussi une prise de conscience de la nocivité d’un certain nombre de choix politiques et de la nécessité que les moyens humains et financiers soient affectés prioritairement à la sécurité économique, sociale, sanitaire et écologique et au bien-être des populations à travers une diminution conséquente des dépenses militaires mondiales qui ont atteint en 2019 le niveau jamais atteint de 1917 milliards de dollars en 2019 (1624 milliards d’euros).

Dans ce contexte, le collectif national En Marche pour la paix a décidé, comme les années précédentes, de contribuer au succès de la Journée internationale de la Paix (21 septembre) et de la Journée des Nations Unies pour l’élimination totale des armes nucléaires (26 septembre).
Partout en France, le samedi 19 septembre, organisons des Marches pour la paix et diverses initiatives publiques de nature à permettre l’expression des exigences populaires :

* pour la paix et contre les dérèglements climatiques,
* pour la justice sociale et les droits humains,
* pour le désarmement nucléaire.

Plus que jamais il est nécessaire de crier haut et fort : Stop les guerres, Stop les violences, Stop la misère, Stop les injustices. Ensemble, agissons pour façonner la paix et le développement d’une culture de la paix à travers la construction d’un monde solidaire, débarrassé de toutes les armes de destruction massive dont les armes nucléaires, un monde plus juste et plus humain car pour son avenir l’humanité n’a d’autre chemin que la paix.

Au-delà des Marches pour la paix, le collectif des marches pour la paix :

* S’adressera à tous les élus qu’ils soient parlementaires ou maires pour souligner ces urgences,

* Organisera le vendredi 18 septembre de 18h à 20h une visioconférence pour permettre l’expression de la diversité des organisations qui appellent au succès de la Journée internationale de la Paix et aux Marches du 19 septembre,

* Organisera le samedi 26 septembre de 16 h à 18 h30 une visioconférence à participation internationale afin de souligner l’urgence d’une ratification du Traité d’Interdiction sur les Armes Nucléaires (TIAN) adopté à l’ONU le 7 juillet 2017 par le plus grand nombre d’États et en particulier par les États possédant des armes nucléaires,

* S’adressera à l’ensemble des ambassades présentes sur le territoire français pour demander que partout les États respectent l’aspiration des peuples à la paix et le droit international en ce qui concerne l’élimination de toutes les armes de destruction massive et l’affectation des crédits en faveur de la réalisation des objectifs du développement durable, de la protection de la planète et d’une sécurité humaine aux dimensions économiques, sanitaires écologiques et sociales,

Affirmera sa solidarité avec toutes les luttes sociales qui portent les valeurs et objectifs des 8 domaines de la Culture de la Paix, des Objectifs du Développement Durable et des conclusions de la conférence de Paris sur le climat.

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Le Collectif national En Marche pour la Paix

Abolition des Armes Nucléaires / Maison de la Vigilance – Agence de Promotion des Cultures et du Voyage (APCV) – Agir pour la Paix – AHSETI (ASTI du Havre) – Alternatiba Rennes – Amendil Awraɣ / Ruban Jaune – Amitié Droujba 19 – Anciens appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre (4ACG ) – Appel des cent pour la paix Bagnolet – Art et Paix Rennes – Artistes pour la Paix – Assemblée de Citoyens Argentins en France (ACAF) – Assemblée des citoyens du Monde – Assemblée européenne des citoyens (AEC HCA-France) – Association AMANI – Association Art Monumental – Association CHEMINS – Association Compostelle-Cordoue – Association corrézienne de renaissance communiste (PRCF) – Association Culture Bio/Salon Ille et Bio — Association Culturelle des Travailleurs Immigrés de Turquie (ACTIT) – Association d’Amitié Franco-Vietnamienne – Association départementale des élus communistes et républicains de l’Ariège (ADECR 09) – Association des combattants de la cause anticoloniale (ACCA) – Association des Médecins pour la Prévention de la Guerre Nucléaire (AMFPGN) – Association de Solidarité avec le Peuple Sahraoui Lorraine (ASPS) – Association « Droit Solidarité » des Juristes Démocrates – Association Fonds d’alerte contre l’Agent Orange/Dioxine (FaAOD) – Association Française d’Amitié et de Solidarité avec les Peuples d’Afrique (AFASPA) – Association française des Communes Départements et Régions pour la Paix, Section française de Mayors for Peace (AFCDRP) – Association France Palestine Solidarité Nord-Pas de Calais (AFPS) – Association Gauche Citoyenne Nanterre – Association Internationale des Éducateurs à la Paix (AIEP) – Association Internationale des Juristes Démocrates (AIJD) — Association La Courtine 1917 – Association La pause joyeuse – Association Loisirs et Réflexion 19 (ALER 19) – Association nationale des élus communistes et républicains (ANECR) – Association POIL DE CAROTTE – Association pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne (ATTAC) – Association « Pour l’AVENIR » – Association Pour l’Emploi, l’Information et la Solidarité des chômeurs et travailleurs précaires (APEIS) – Association Rennaise d’éducation à la paix (AREDAP) – Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) – Association Réseau Espérance – Association Salam Nord-Pas-de-Calais – Association Simon Bolivar – Association soins palliatifs – Association Togo 19 – Association Un jour la paix – Aux actes citoyens – Boycott Désinvestissement Sanctions France (Campagne BDS) – Bureau International de la Paix – Café associatif « Les femmes s’inventent » – Cap à Gauche 19 – Carline — Cercle Louis-Guilloux – CGT Edu’action 42 – Coexister Rennes – Collectif Citoyens Musulmans pour la paix – Collectif Citoyens & Policiers – Collectif Citoyens pour la climat – Collectif des iraniens contre la guerre – Collectif de solidarité France-Brésil – Collectif Ethique sur l’Etiquette – Collectif Interuniversitaire de Coopération avec les Universités Palestiniennes (CICUP) – Collectif Maquis de Corrèze – Collectif Ni guerres Ni état de guerre – Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, Saint-Denis (CNPIDPJ) – Comité anti-impérialiste, Paris – Comité Corrézien de Défense et de Développement des Services Publics – Comité pour l’abolition des dettes illégitimes (CADTM) – Compagnie Erinna – Confédération des Opprimés Immigrés en Europe (AvEG-KON) – Confédération Générale du Travail (CGT) – Conseil Démocratique Kurde en France (CDK-F) – Conseil Portugais pour la Paix – Convergence nationale de collectifs de défense et développement des services publics – Convergence services publics d’Indre et Loire – Corrèze-Cuba Estrella – CUGA/ENSEMBLE 3e circo du 93 – Déclic Femmes – Demain l’Homme – Eco-Choix – EINSMER « Europe in your life » – Enseignants pour la paix – Ensemble ! Mouvement pour une alternative de gauche, écologiste et solidaire – Espéranto-France – Europe Écologie Les Verts (EELV) – Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR) – Fédération Espérantiste du Travail (FET) – Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes (FNDIRP) – Fédération Syndicale Unitaire (FSU) – FSU Haute-Garonne 31 (FSU 31) – FSU Meurthe-et-Moselle 54 (FSU 54) – Femmes Égalité – Femmes Solidaires – Flandre Terre-Solidaire – FranceKurdistan – Graine de citoyen – Groupe Non-Violent Louis Lecoin – Groupe parlementaire La France insoumise – H.I.J.O.S. Paris – Initiative Féministe EuroMéd – Institut de Documentation et Recherche sur la Paix (IDRP) – Irish Campaign for Nuclear Disarmament – Jeunes écologistes Rennes-Bretagne – Jeunes Enfants Malgaches à l’École (JEME) – Jeunesse Ouvrière Chrétienne – La Coordination Nationale Solidarité Kurdistan (CNSK) — La Libre Pensée – La Maison du Gabon – La Médiation Actes de Parole (La MAP) – La Paille et le Mil – Le Mouvement de la Paix – Les Amis de Continuer la CGT (CL-CGT) – Les Jeunes Écologistes – Les Mondialistes, Citoyens du monde pour l’unification politique de l’humanité (Luxembourg) – Ligue des droits de l’Homme (LDH national) – LDH 13 – LDH Annecy – LDH Beauvais – LDH Brive et Corrèze – LDH Bretagne et Pays de Loire – LDH Indre 36 – LDH Le Creusot – LDH Mulhouse – LDH Paris Centre – LDH Rennes – Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté (WILPF) – Maison franco-kurde de Toulouse – Maison Internationale de Rennes – Marche Mondiale des Femmes France (MMF) – Mesa Social para la Paz en Colombia – Mission de France – Mission ouvrière – Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP) – Mouvement des Femmes Kurdes France (TJK-F) – Mouvement Jeunes Communistes de France – Mouvement pour une Alternative Non-violente (MAN) – Mouvement Rural de Jeunesse Chrétienne (MRJC) – Nouveau Depart Guadeloupe – Oasis KarmÔnie – ONG Paix et Bienveillance en Action – Palenque – Parti Communiste des Ouvriers de France – Parti Communiste Français (PCF) – PCF Saint-Brieuc – Pax Christi France – Perma G’Rennes – Pessoas-Animais-Natureza, Portugal – Plateforme des ONG Françaises pour la Palestine – Premières Assises Africaines de la Paix – Quakers de Toulouse – Réseaux de Solidarité et d’Entraide pour le Progrès (RSEP) – Secours Catholique du diocèse de Rennes – Service Civil International France (SCI France) – SNUipp-FSU des Vosges – Socialisme et République – Solidarité Internationale LGBTQI – Solidarité Mondiale contre la Faim (Globidar-France) – Sortir du colonialisme – Sortir du Nucléaire Isère – SOS Racisme Besançon-Doubs – Stop Fuelling War – Survie – Syndicat National des Enseignements de Second degré (SNES) – Syriza Montpellier France – Terre d’Errance, Norrent-Fontes – The Mondialists – Total Respect / Tjenbé Rèd – Union Démocratique Bretonne (UDP) – Union Départementale CGT 44 (UD CGT 44) – UD CGT 49 Maine-et-Loire – Union des Étudiants Communistes (UEC) – Union des Fédérations des Pionniers de France – Union Générale des Fédérations de Fonctionnaires CGT (UGFF-CGT) – Union Juive Francaise pour la Paix (UJFP) – Union Nationale des Étudiants de France (UNEF) – Union Pacifiste de France – Union syndicale Solidaires – Unis pour la Planète Think Tank – Université Européenne de la Paix – Voix des migrants – …

La troisième édition du Forum de Paris sur la Paix

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Communiqué de presse du Paris Peace Forum

La troisième édition du Forum de Paris sur la Paix, du 11 au 13 novembre 2020, sera le premier évènement du calendrier international qui portera sur la construction d’un monde meilleur après la pandémie. Lors du Forum de Paris sur la Paix, le sommet Finance en Commun du 12 novembre soulignera le rôle des banques publiques de développement pour concilier les nécessaires réponses à court terme à la crise et les mesures durables de reprise qui auront un impact à long terme sur la planète et les sociétés.

Pour retrouver une planète plus belle

Entre souffrance, inquiétude et incertitude, la pandémie de COVID-19 a mis en évidence l’urgence de mieux nous organiser à l’échelle planétaire grâce à de nouvelles formes d’action collective.

Principalement consacré à la réponse commune à la pandémie de COVID-19 et servant de plateforme pour promouvoir des solutions pour améliorer notre réponse immédiate et être mieux préparés à l’avenir, le Forum de Paris sur la Paix 2020 repose sur la conviction que nous pouvons collectivement relever l’immense défi qui nous attend et tirer les leçons de cette crise pour reconstruire un monde plus durable. Les principales questions abordées tout au long du forum porteront sur les solutions permettant de se remettre de la pandémie : améliorer la gouvernance mondiale de la santé, repenser le capitalisme et le rendre plus écologique, assurer que les données et les réseaux sociaux soient des solutions, pas des menaces.

En 2020, le Forum mettra donc l’accent sur les projets et initiatives provenant du monde entier visant à répondre à la crise du COVID-19, et à améliorer notre résilience collective. Tous les acteurs clés de la gouvernance mondiale, notamment les banques publiques de développement, les États, les organisations internationales, les ONG, les entreprises, les fondations, les organisations philanthropiques, les groupes religieux, les syndicats, les groupes de réflexion et les universités, sont invités à soumettre des solutions innovantes dans le cadre de l’appel à projets 2020 du Forum de Paris sur la Paix, d’ici le 12 mai 2020 à 18 heures (heure de Paris).

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Global meetings, conferences, assemblies, What is the best way for delegates to interact afterwards?

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Alors que le Forum de Paris sur la Paix réunira des acteurs du changement du monde entier pour débattre de la gouvernance mondiale et du multilatéralisme, le sommet Finance en Commun rassemblera l’ensemble de la communauté des banques de développement, soit plus de 400 banques publiques de développement (BPD). Les BPD sont des institutions publiques contrôlées ou soutenues par les gouvernements. Titulaires de mandats publics, leurs opérations répondent à des objectifs socioéconomiques. Le sommet sera l’occasion d’appréhender leur rôle crucial, tant pour faire face à la crise qu’à long terme, pour la construction d’un monde de demain plus résistant et plus durable. Premier rassemblement de ce type, le sommet Finance en Commun est une occasion unique de construire une nouvelle coalition de banques publiques de développement, de favoriser leur coopération et de rassembler l’ensemble de la communauté financière pour soutenir une action collective en faveur du climat et des objectifs de développement durable.

L’objectif du sommet est de publier une déclaration collective de toutes les banques publiques de développement, affirmant leur volonté de s’aligner sur les principes du financement durable et d’intégrer les objectifs de l’accord de Paris, ceux de la Convention sur la diversité biologique (CDB) et l’Agenda 2030 dans leur stratégie, leurs principes fondamentaux et leurs analyses d’impact.

Précédant le sommet, une conférence de recherche se tiendra le 10 novembre 2020, au cours de laquelle un consortium d’établissements universitaires de premier plan présentera des recherches et partagera ses idées sur la manière dont les BPD peuvent apporter de meilleurs financements à long terme.

« La crise actuelle montre à quel point les dirigeants nationaux, même ceux opposés au multilatéralisme, dépendent de l’action collective pour des tâches essentielles comme la recherche et la distribution d’un vaccin, le soutien aux pays fragiles et le rétablissement d’un monde sans virus. L’action multilatérale qui a sous-tendu la création du Forum de Paris sur la Paix est plus que jamais nécessaire. »

– Justin Vaïsse, Directeur général du Forum de Paris sur la Paix

« Les membres de l’IDFC ont mobilisé collectivement leur capacité financière et leur expertise pour apporter une réponse immédiate aux défis sanitaires à court terme ainsi que pour se préparer à un monde post-COVID-19 qui nécessitera un changement de paradigme attendu depuis longtemps. »

– Rémy Rioux, Président de l’International Development Finance Club (IDFC)

« Nous devons penser le multilatéralisme en réseaux, plus proche des gens ; nous devons travailler main dans la main avec les organisations régionales, mais aussi avec les institutions financières, les banques de développement et les agences spécialisées. »

– António Guterres, Secrétaire général des Nations unies

À ce stade, la situation mondiale en matière de santé publique étant impossible à prévoir pour la mi-novembre 2020, il est actuellement prévu que l’évènement se tienne sous une forme hybride : en partie physiquement, en partie en ligne.

(Merci de Phyllis Kotite, le reporter de CPNN pour cet article.)

Le PAYNCoP Gabon se joint à l’UNESCO pour combattre les fakes news sur le Covid19 et les violences faites aux femmes

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envoyé à CPNN par Jerry Bibang

Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse (03 mai), le PAYNCoP Gabon a pris part, les 04 et le 05 mai 2020, à deux vidéos conférences, organisées par le Bureau UNESCO de Libreville.

La première qui a regroupé une vingtaine d’organisations de jeunes portait sur l’Education aux Médias et à l’information (EMI) afin de combattre la propagation des fakes news, notamment en rapport avec le Covid 19.

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African journalism and the Culture of Peace, A model for the rest of the world?

How can we work together to overcome this medical and economic crisis?

Protecting women and girls against violence, Is progress being made?

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La rencontre a permis à une vingtaine de jeunes leaders associatifs du Gabon, dont ceux du PAYNCoP Gabon, de renforcer leurs capacités dans les techniques de détection et de vérification de fausses informations (fact-cheking). Des échanges riches qui ont permis d’identifier des actions à mettre en œuvre conjointement dans le cadre de la lutte contre le Covid19, notamment une campagne de sensibilisation en ligne et bien d’autres activités.

La deuxième, avec les journalistes des médias publics et privés, était orienté sur le traitement des violences faites aux femmes et la sécurité des journalistes. Il était question de voir, entre autres, comment traiter les questions de violences à l’endroit des femmes, tout en respectant les règles d’éthique et déontologie professionnelle ainsi que les réalités sociales et culturelles dans le contexte gabonais. Un guide pédagogique, publié par l’UNESCO, intitulé ‘’ Informer sur les violences des femmes et des filles’’ ainsi que de nombreuses contributions ont constitué la trame des échanges.

En marge de cette rencontre, les journalistes participants ont évoqué la nécessité de mettre en place une plateforme d’autorégulation des professionnels de l’information et de la communication afin de contribuer à l’amélioration de la pratique du journalisme au Gabon.

Uruguay: Pépé Mujica, l’ex-Président de la République volontairement le plus pauvre au monde.

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Un article du site de Pierre Martial, ecrivain, journaliste (A partager le plus largement possible, mes amies et amis! Partager, c’est déjà agir.)

“La maison du Président? C’est là-bas, tout au fond du chemin de terre! Vous voyez? C’est la petite baraque au toit en zinc vert avec les poules devant!”.

Au fin fond de cette banlieue pauvre de Montevideo, au Paso de la Arena, tout le monde connait José Mujica, affectueusement surnommé, à plus de 84 ans, “Pépé Mujica“.


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D’abord parce qu”il vit depuis plus de 20 ans dans cette modeste fermette de 45 m2 avec sa femme Lucia et sa chienne handicapée, à trois pattes, Manuela.

Ensuite, parce qu’il a été Président de la République d’Uruguay de 2010 à 2015! Et qu’il n’a jamais cessé de vivre dans cette baraque, même quand il était le chef de la nation!

Pépé Mujica, né d’une famille de paysans pauvres, a toujours voulu rester au milieu des plus défavorisés et, s’il s’est engagé et a milité depuis son plus jeune âge, c’est justement pour défendre les plus pauvres et les opprimés!

Alors pas question de les abandonner, même quand il était Président, pour les ors de la République et le Palais présidentiel, trop luxueux à son goût!

C’est à l’âge de 15 ans, en 1950, que le jeune José, orphelin de père à 6 ans, commence à s’engager contre la misère et l’injustice.

Dans les années 60, face à la montée des groupes paramilitaires qui veulent faire la loi et prendre le pouvoir dans son pays avec force agressions, enlèvements et assassinats, José Mujica est un des fondateurs, avec Raoul Sendic, du groupe emblématique des Tupamaros. Sortes de “Robin des Bois” uruguayens, les Tupamaros s’étaient donné pour mission de protéger le peuple et de contenir la montée des paramilitaires.

En 1973, alors que la dictature militaire fait rage, il est fait “prisonnier-otage” par la junte et est emprisonné dans des conditions insoutenables.

Torturé chaque jour, mis à l’isolement total, il sera ainsi détenu pendant plus de 10 ans, dont 2 ans au fond d’un puits. Il en sortira en 1985, à demi-fou.

Une folie et une expérience terrifiante dont il fera, paradoxalement, sa plus grande force.

“C’est étrange, se confie-t-il aujourd’hui, mais l’homme apprend parfois plus des moments difficiles que des moments de bonheur. Ces années noires ont été horribles et pourtant, elles m’ont apporté beaucoup“

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Where in the world can we find good leadership today?

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Un silence, puis: “Par exemple, je ne sais plus haïr. Vous connaissez le luxe de ne pas haïr?”

Dès sa sortie de prison, l’ex-Tuparamo reprend le combat, un combat plus pacifique cette fois mais toujours aussi inlassable et sans concession.

En 1994, il devient député. En 1999, il est élu sénateur et est réélu aux mêmes fonctions en 2004. Tout en continuant de travailler comme agriculteur.

En 2010, consécration d’une vie au service de son peuple, il est élu Président de la République.

Fini donc la fermette et le dur travail d’agriculture? Et bienvenue au confort présidentiel, aux voitures de fonction, au luxueux Palais présidentiel et aux très confortables émoluments de la République?

Pas du tout! En aucun cas! Ce serait bien mal connaitre Pépé Mujica!

Dès le lendemain de son élection, il fait connaitre – au grand dam du Protocole-, qu’il est hors de question pour lui d’habiter au Palais présidentiel. Trop riche pour lui! Il restera dans sa baraque, point barre! Mais il rassure son monde: la demeure présidentielle continuera à servir, il s’y engage. En 2012 par exemple, lors de la terrible vague de froid qui s’abattit sur le pays, il la fait inscrire comme refuge pour les sans-abris!

Secundo, il refuse toutes voitures de fonction qu’on veut lui imposer. Sa Coccinelle, bleue achetée en 1987, lui suffit amplement, affirme-t-il.

Et tertio, il décide de faire redistribuer les 90% de son salaire mensuel de Président à des associations caritatives, se déclarant bien loti de conserver les 10% restant, soit l’équivalent de 900 euros, montant du salaire moyen en Uruguay.

C’est le 1 mars 2015 que Pepe Mujica a mis fin à ses fonctions présidentielles. Non pas qu’il en avait assez! A 80 ans, il est encore en pleine forme! Rien ne vaut l’amour de sa famille, de ses amis et de ses chiens pour vous conserver un homme! Mais la Constitution de l’Uruguay n’autorise qu’un seul mandat présidentiel de 5 ans.

Pépé Mujica est donc retourné, serein et bonhomme, à sa fermette, à ses fleurs et à son jardin, au fin fond de sa banlieue et aux côtés de ses amis.

Quand on lui demande ce que cela lui fait d’être l’ex-Président le plus pauvre au monde, il hausse les épaules. “Beaucoup de personnes sont pauvres, très pauvres, de par le monde. Moi, je ne suis pas pauvre, j’ai juste décidé de vivre de manière austère pour être plus proches de ceux qui le sont. Je ne fais pas l’apologie de la pauvreté, mais celui du partage et de la sobriété“.

Est-il satisfait de ce qu’il a fait, de l’exemple qu’il a pu donner? Il lève les yeux au ciel.

“J’ai fait ce que j’ai pu… J’ai dédié une grande partie de ma vie à essayer d’améliorer la condition sociale du monde dans lequel je suis né. J’ai eu quelques déconvenues, de nombreuses blessures, quelques années de prison…. Enfin, la routine pour quelqu’un qui veut changer le monde…“

Ses projets?

“Continuer à vivre le plus longtemps possible! C’est un miracle que je sois encore en vie après tout ce que j’ai vécu! Et puis lire aussi, lire beaucoup! J’ai passé plus de 10 ans dans un cachot dont 7 sans pouvoir lire. J’ai du retard à rattraper!“

Je te souhaite encore de longues années de vie et de lecture, Pépé Mujica, et je te serre avec émotion contre moi.

Tu es pour moi, – pour nous toutes et tous -, beaucoup plus qu’un exemple…

Tu es un espoir!

(Merci a Kiki Chauvin Adams qui a envoye cet article a CPNN.)

Promotion de la paix au sahel : Les meilleures productions radiophoniques primées

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Un article par Tiga Cheick Sawadogo dans Le Faso

Le programme promotion de la paix au sahel, mis en œuvre par le Centre national de presse Norbert Zongo a distingué les meilleures productions radiophoniques sur la paix. En magazine, microprogramme et table ronde, les œuvres de quatre journalistes tamisées parmi 84 autres de douze radios ont été primées. C’était ce 13 février 2020 à Ouagadougou, jour de célébration de la journée mondiale de la radio.

Le Centre National de Presse Norbet Zongo met en œuvre avec l’appui de EIRENE, le programme promotion de la paix au sahel. Dans ce cadre, douze radios partenaires des régions du Centre-nord, du Nord, et du Plateau central ont bénéficié de renforcement de capacités et d’appuis techniques pour produire des émissions en lien avec la paix.

Pour capitaliser les acquis du programme, un concours des meilleures productions en radio sur la paix a été lancé. Et ce sont 84 œuvres qui ont été enregistrées par le jury composé de Jean Baptiste Ilboudo, Clémence Tuina et Smaïla Rabo.

« La tâche ne fut pas facile. On a jugé la pertinence du sujet, la qualité sonore de l’œuvre, l’originalité dans le traitement, la qualité de la musique, l’habillage… », a expliqué Clémence Tuina, représentante des membres du jury. Pendant six jours, le jury a travaillé pour départager les candidats.

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African journalism and the Culture of Peace, A model for the rest of the world?

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« Le jury regrette, la faible participation des candidats et des radios, quatre radios sur la douzaine concernée. Il recommande donc à l’endroit des organisateurs d’instituer un système de mentorat pour suivre et galvaniser les radios à produire après les formations IN SITU. Il leur recommande également de poursuivre le renforcement des capacités des radios partenaires et de leur fournir un appui en matériels de production (enregistreurs).

Le jury a exhorté les responsables de radios à encourager, motiver leurs journalistes à produire des émissions (tables rondes, magasines, microprogrammes, reportages et enquêtes).

En catégorie microprogramme, c’est Boureima Ouédraogo de la radio Voix du paysan de Ouahigouya qui est lauréat avec le titre « vivre ensemble ». « L’œuvre traite de la paix, de la cohésion sociale, pour dire comment les différentes communautés peuvent s’accepter, comment les populations peuvent travailler à promouvoir la paix. Ce prix vient nous galvaniser à travailler davantage dans la promotion de la paix. En tant que producteurs radio, nous sommes les porte-paroles des populations et dans le contexte actuel du Burkina, nous avons un rôle important à jouer », a expliqué le lauréat.

En table ronde, c’est également la voix du paysan qui l’emporte avec Abdoulaye Sawadogo pour son œuvre intitulée « contribution des leaders religieux à la cohésion, dans un contexte d’extrémisme violent ».

Quant au meilleur magazine traitant de la spéculation sur les terres à Loumbila, c’est un duo de journaliste de la radio Vénégré de Ziniaré qui l’emporte, Alfred Kagambèga et Toussaint Soré.

Le programme promotion de la paix au sahel a également désigné la meilleure radio. Là aussi, c’est la radio Vénégré de Ziniaré qui s’est distinguée avec l’émission « les voix pour une culture de paix ». « Nous avons apprécié l’esprit d’équipe qui a prévalu dans cette radio. La radio a créé une émission intitulée les voix pour une culture de la Paix. Une émission qui est animée par les journalistes à tour de rôle. Les magazines étaient rythmés, il y a plusieurs voix qui interviennent, les taches sont partagées et cela nous a beaucoup plu », a justifié Clémence Tuina.

L’ensemble des lauréats a reçu des prix en nature, notamment des ordinateurs, des enregistreurs et des attestations.

Gambia: Forum régional de Banjul 2019 : engager les jeunes leaders africains dans la réalisation des agendas 2030 et 2063

LIBRE CIRCULATION DE L’INFORMATION

Un article par Debbo Mballo de Vivafrik

C’est dans le cadre du plan d’action du Forum de Banjul 2017 que l’UNESCO et ses partenaires prévoient de soutenir l’organisation d’un troisième Forum régional, du 28 au 30 octobre 2019, afin de mieux apprécier le niveau d’implication des jeunes femmes et hommes dans les processus nationaux de démocratisation, de gouvernance, de la réconciliation nationale et de la construction d’un environnement social favorable à la culture de la paix. Un des objectifs sera aussi de leur faciliter des échanges pour trouver les voies et les moyens, les modalités d’action, les cadres d’expression et les formes, les contenus les plus appropriés à un meilleur engagement.


Le forum de 2019 sera centré sur les rôles et la place des jeunes dans la gouvernance, la démocratie et les droits humains. Il permettra de mettre l’accent sur les nouvelles formes d’expressions et de revendications innovantes des jeunes dans ces processus. Ce sera une plate-forme pour catalyser et accélérer la mise en œuvre de la feuille de route de l’Union Africaine visant à investir dans la jeunesse, en mettant l’accent sur la participation civique des jeunes et l’engagement des jeunes en tant que co-créateurs de solutions durables pour l’Afrique.

Ces rencontres périodiques permettent de consolider une tradition de réflexion, de discussion et d’action sur la place des jeunes gambiens et ouest-africains dans l’espace sociétal, et de mieux cerner leurs rôles dans les processus de transformation et de démocratisation de la société.

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Youth initiatives for a culture of peace, How can we ensure they get the attention and funding they desereve?

L’objectif général de cette initiative est de renforcer la capacité des jeunes à exercer un leadership transformationnel au triple niveau communautaire, national et continental dans les processus de démocratisation de la société.

Cette conférence espère atteindre les objectifs spécifiques suivants :

1. Fournir une plate-forme de partage d’expériences des leçons apprises et des réflexions sur le rôle des jeunes dans les transitions démocratiques et pacifiques en Afrique: (Permettre aux jeunes gambiens de se nourrir de l’expérience des autres pays et permettre à la jeunesse africaine de s’enrichir de l’expérience des jeunes gambiens) ;

2. Sécuriser un espace de dialogue et d’action des différentes franges de la jeunesse (jeunes universitaires, jeunes activistes, jeunes humanistes, jeunes entrepreneurs sociaux etc.) sur leurs propres préoccupations et perspectives ainsi que ceux de leur pays, de leur région, du continent et du monde global ;

3. Sécuriser un espace de dialogue intergénérationnel où les jeunes peuvent échanger avec des « anciens jeunes leaders » autour de thématiques importantes et/ou d’actualité comme les problématiques de la Gouvernance, de la Démocratie, de la Paix, de la Violence etc., ainsi que les questions liées de l’égalité et de l’équité (notamment de genre), à la valorisation du Patrimoine naturel et culturel, à l’inclusion sociale, aux droits humains etc. ;

4. Sécuriser un espace de dialogue et d’action entre les jeunes et les autorités sur les préoccupations et perspectives des pays, de la région, du continent et du monde global en mettant l’accent pour chaque forum sur des thèmes particuliers.

5. Présenter, enrichir et valider les résultats de la « MOST Policy Oriented Research » intitulée : « Jeunes et espaces de liberté en Afrique : les formes d’expressions émergentes pour la démocratisation et l’atteinte des ODD », menée sur demande des jeunes lors du Forum de Banjul 2017.

Tchad : le ministère de la Femme salue les initiatives de paix associatives

LIBRE CIRCULATION DE L’INFORMATION

Un article de Al Wihda

La ministre de la Femme, de la Protection de la petite enfance et de la Solidarité nationale, Dr. Djallal Ardjoune Khalil, a reçu en audience lundi, la délégation de l’Union nationale des jeunes cadres pour la consultation et la cohabitation pacifique, conduite par son secrétaire général, Sidick Sougui Lony.

L’échange entre la ministre et la délégation a porté essentiellement sur la paix, le désarmement de la population civile et la cohabitation pacifique entre les différentes communautés de la province de Ouaddaï.

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Biennale de Luanda – Forum panafricain pour la culture de la paix 18-22 septembre 2019 13 Septembre 2019

LIBRE CIRCULATION DE L’INFORMATION

Un article de l’UNESCO

La Directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, participera à la Biennale de Luanda qui se déroulera du 18 au 22 septembre dans la capitale de l’Angola et qui réunira des responsables gouvernementaux, des représentants de la société civile, d’organisations internationales, ainsi que des artistes et des scientifiques du continent africain comme de la diaspora.


© UNESCO

La Directrice générale participera à l’ouverture de la Biennale aux côtés de João Manuel Gonçalves Lourenço, Président de l’Angola, d’Ibrahim Boubacar Keïta, Président du Mali, de Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l’Union africaine, et de Denis Mukwege, Prix Nobel de la paix 2018.

Les présidents de la République du Congo et de la Namibie doivent aussi participer à cette première édition de la Biennale de Luanda qui sera organisée autour de trois axes :
(Voir suite sur colonne de droite. . . )

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The Luanda Biennale: What is its contribution to a culture of peace in Africa?

Will UNESCO once again play a role in the culture of peace?

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1. Forum des partenaires – Alliance pour l’Afrique. Créée en 2018 par l’UNESCO, l’Alliance mobilise des donateurs, des entreprises des secteurs public et privé, ainsi que des organisations régionales et internationales autour de projets de développement durable en Afrique. Ceux-ci concernent un large éventail de domaines relevant du mandat de l’UNESCO, notamment la préservation du patrimoine et le soutien aux médias libres et pluralistes ;

2. Forum d’idées ; Forum des jeunes ; Forum des femmes. Il s’agit de trois plates-formes de réflexion sur l’avenir de l’Afrique, axées sur la diffusion de bonnes pratiques et de solutions pour la prévention des crises, ainsi que sur la résolution et l’atténuation des conflits ;

3. Festival des cultures. Mise en valeur de la diversité culturelle des pays africains et de la diaspora africaine.

Né d’un partenariat entre l’Angola, l’Union africaine et l’UNESCO, le Forum est conçu pour promouvoir la prévention de la violence et le règlement des conflits en facilitant les échanges culturels en Afrique et au sein de la diaspora africaine, ainsi que le dialogue intergénérationnel et l’égalité des sexes. Il s’agit de nourrir la réflexion et de faciliter la diffusion d’œuvres artistiques, d’idées et de connaissances relatives à la culture de la paix. Il s’inspire de la Charte de la renaissance culturelle africaine adoptée en 2006.

Au cours de sa visite en Angola, la Directrice générale de l’UNESCO signera également un accord de partenariat en vue de la création d’un programme national de doctorat en science, technologie et innovation, visant à former 160 doctorants d’ici 2020. Le projet s’inscrit dans le cadre d’un partenariat plus large visant à renforcer les capacités éducatives, scientifiques et culturelles de l’Angola.